Grégory Villemin, quatre ans, vit avec ses parents Christine et Jean-Marie dans un pavillon de Lépanges sur Vologne, dans les Vosges. Le 16 Octobre 1984, vers 17 heures, Grégory disparaît alors qu’il jouait dans un tas de sable devant chez lui. Aussitôt les gendarmes sont prévenus et commencent leurs recherches. Le soir-même à 21 heures 15 ils découvrent le corps sans vie du petit garçon immergé dans la rivière Vologne à Docelles, le village voisin. L’enfant est retrouvé échoué sur un barrage. Il a les mains et les pieds attachés par une cordelette mais ne présente aucune trace de violence. A Lépanges c’est la stupéfaction. Les parents de Grégory expliquent que le crime a été revendiqué par téléphone seulement trente minutes après sa disparition. C’est Michel, le frère de Jean-Marie, qui a reçu ce coup de fil dans lequel une voix anonyme dit avoir tué et jeté Grégory dans la Vologne. D’après la description de cette voix plutôt rauque, les époux Villemin reconnaissent la voix d’un corbeau qui les harcèle au téléphone depuis plusieurs années.
Dès le lendemain l’affaire fait la une de tous les journaux avec la photo du corps de l’enfant. Un journaliste de RTL réalise une interview de Jean-Marie Villemin dans laquelle il prétend, la gorge serrée par l’émotion, connaître l’identité de l’assassin de son fils. Cette confession attise la curiosité des journalistes, d’autant plus que Jean-Marie Villemin a reçu, le matin même une lettre de revendication du crime postée par le corbeau, le 16 Octobre à 17 heures 15 à la Poste de Lépanges. Dans cette lettre il est écrit : « Ce n’est pas ton argent qui pourra te redonner ton fils. Voilà ma vengeance. Pauvre con ». Les gendarmes découvrent alors que cette lettre n'est pas la première envoyée par le corbeau. Les parents de Jean-Marie Villemin ont déjà reçu deux lettres dans lesquelles le corbeau profère des menaces à l'encontre de la "petite famille du chef", surnom donné au père de Grégory.
Les enquêteurs poursuivent leurs investigations au domicile des Villemin. Ils apprennent qu'au moment de son enlèvement Grégory jouait dans un tas de sable devant la maison. Sa mère, qui faisait du repassage à l'intérieur n'a rien vu, les volets étant fermés. Ne trouvant aucun indice à Lépanges, ils concentrent leurs recherches à Docelles en essayant notamment de découvrir le lieu d'où a été jeté l'enfant dans la Vologne. Après plusieurs essais avec des mannequins, ils parviennent à la conclusion que Gregory a été jeté à l'eau près de la caserne des pompiers, en plein centre du village et en plein jour, sans que personne ne voit rien.
L'autopsie de l'enfant est incomplète puisque l'eau de ses poumons et ses viscères ne sont pas analysés par le médecin légiste. On ne saura donc jamais l'heure exacte de la mort de Gregory.
A Lépanges c'est un déferlement médiatique qui entoure les obsèques de l'enfant. L'affaire attire toute la presse française et les moindres faits et gestes sont épiés.
Afin de canaliser l'engouement des journalistes, les gendarmes sont obligés de faire un point presse deux fois par jour. Mais, revers de la médaille, le secret de l'instruction n'est plus vraiment respecté. L'influence des journalistes dans cette affaire est telle que la station de radio Europe 1 va suggérer à la famille Villemin le nom d'un avocat: Maître Garaut. Un journaliste de Paris Match, Jean Ker va utiliser ses bonne relations avec l'avocat pour publier un reportage dans lequel figurent des photos prises chez les Villemin et notamment dans la chambre de Grégory. En outre, il publie pour la première fois des photocopies des lettres du corbeau. L'affaire va ainsi rester à la une de l'actualité pendant des mois.
Quelques jours après le meurtre, Jean-Marie Villemin reçoit à nouveau une lettre du corbeau qui lui écrit: "J'espère que tu mourras de chagrin, le chef". Le père de Grégory est ainsi nommé "le chef" en raison de son poste de contremaitre et sa réussite professionnelle suscite bien des jalousies. C'est ce que constatent les gendarmes en enquêtant sur les appels anonymes reçus par le couple depuis des mois. La jalousie d'une certaine réussite matérielle pour un jeune homme de 26 ans semble être la principale motivation du corbeau.
Un évènement familial survenu deux jours avant le drame attire l'attention des gendarmes. Les Villemin ont reçu chez eux pour la première fois depuis longtemps, Michel, le frère de Jean-Marie, et son épouse. A l'occasion de cette visite, Jean-Marie "leur en met plein la vue": canapé en cuir, projets d'extension de la maison, etc... Les gendarmes se demandent alors si cette visite n'a pas été l'élément déclencheur pour le corbeau.
Pour la presse, la vérité se trouve au sein de la famille Villemin dont toute l'intimité va être déballée dans les journaux. Comme les journalistes, les gendarmes sont convaincus que le corbeau est un membre de la famille. Ils vont donc vérifier l'alibi de toutes ces personnes en leur faisant systématiquement passer une dictée. C'est ainsi qu'ils vont se rapprocher de Bernard Laroche, le cousin germain de Jean-Marie Villemin. Comparée aux lettres du corbeau, son écriture est jugée intéressante par un expert graphologue. De plus la famille Laroche est au courant de tout ce qui se passe chez les Villemin de par leurs relations avec Michel, le frère de Jean-Marie.
Pour vérifications, le juge d'instruction va faire venir de Paris Marie-Jeanne Berichon-Seyden, experte en écriture. Toutes les dictées recueillies par les gendarmes vont lui être soumises et après analyse le même nom ressort: Bernard Laroche. Au cours de ses analyses, un nouvel indice est découvert par Mme Berichon-Seyden. Sur la lettre de revendication, elle constate la présence nette d'une empreinte de signature, ce qu'on appelle un foulage.
Le document est alors confié à Denis Klein, un gendarme spécialisé dans les expertises d'écriture. Pour faire apparaitre les sillons imprimés dans le papier, il promène un faisceau lumineux sur la lettre et distingue nettement les lettres L et B. Par ailleurs en superposant ce foulage sur la véritable signature de Bernard Laroche, ça colle parfaitement.
Dès le lendemain Bernard et Marie-Ange Laroche sont placés en garde à vue mais, en l'absence d'aveu, ils sont relachés au bout de 24 heures. Malgré tout les gendarmes s'accrochent à cette piste et s'intéressent à l'emploi du temps de Bernard Laroche au moment du meurtre.
Son épouse et sa belle-soeur Murielle Bolle affirment qu'il se trouvait à Aumontzey à 17 heures 20. Cependant les détails ne collent pas et soudain Murielle craque et avoue qu'elle est rentrée du collège avec Bernard Laroche et qu'ils sont directement partis à Lépanges. Là-bas elle explique aux gendarmes qu'elle a vu Bernard Laroche enlever le petit Grégory.
Tandis que l'adolescente s'occupait de Sébastien, le fils de Bernard, dans la voiture, son beau-frère serait sorti avec Gregory et serait revenu quelques minutes plus tard sans lui. Compte tenu de la gravité de ses déclarations, Murielle Bolle est placée en garde à vue et le procureur demande au juge Lambert de venir auditionner lui-même la jeune fille.
Or la scène se passe en fin de semaine et le juge préfère remettre cette audition au lundi suivant. Remise en liberté, Murielle Bolle passe le week-end en famille. Le lundi 5 novembre 1984, elle répète son histoire dans le bureau du juge qui décide aussitôt de procéder à l'arrestation de Bernard Laroche. L'homme, vêtu d'un bleu de travail, est interpellé par les gendarmes à son usine devant une nuée de journalistes.
A l'époque la présomption d'innocence n'existe pas et les journaux font tous leur une avec "l'assassin Laroche". Les journalistes trouvent même le mobile. Les Laroche sont jaloux de la réussite des Villemin.
Le soir-même le juge Lambert annonce lui-même devant les caméras, un sourire aux lèvres, l'inculpation de Laroche pour assassinat. Le lendemain alors que la presse s'apprête à quitte Lépanges, pensant l'affaire résolue, la famille de Murielle Bolle lui demande de passer chez elle. Devant les micros et les caméras l'adolescente revient sur ses déclarations et explique que ses aveux ont été dirigés par les gendarmes. Elle nie être montée en voiture avec Laroche et clame l'innocence de son beau-frère.
Pour les gendarmes le juge a fait une erreur en laissant Murielle rentrer dans sa famille. Selon eux elle a subi des pressions pour changer sa version des faits. Cependant d'autres témoignages viennent corroborer la déclaration initiale de la jeune fille. Le chauffeur du bus scolaire ainsi que ses camarades de classe affirment qu'elle n'est pas rentrée chez elle le soir du meurtre. Le juge organise alors une confrontation entre Bernard Laroche et Murielle Bolle.
Murielle maintient qu'elle n'était pas avec Bernard ce soir-là. Les charges pesant contre lui demeurent alors bien minces.
C'est alors que le témoignage de trois collègues de travail de Christine Villemin va peu à peu semer le doute. Les trois femmes racontent que le 16 octobre vers 17 heures elles ont vu Christine poster un courrier dans la boite aux lettres de la poste de Lépanges. Or c'est précisément à cet endroit et à cette heure que le corbeau a posté sa lettre de revendication.
Entendue à ce sujet, la mère de Grégory répond que ses collègues se trompent de jour. Elle a bien posté un courrier vers 17 heures mais c'était la veille. Après enquête la lettre a été retrouvée par les gendarmes. De plus les trois femmes se trompent sur la tenue vestimentaire de leur collègue. Ce témoignage des "filles de la poste" n'est pas pris au sérieux par les enquêteurs contrairement au juge Lambert qui organise une confrontation. Mais chacune des parties campe sur ses positions.
Malgré tout les soupçons du juge Lambert et de la presse se tournent peu à peu vers Christine Villemin. Il est vrai que l'histoire de la "mère coupable" se vend mieux que la jalousie d'un cousin. Les gendarmes sont alors montrés du doigt. On leur reproche de na pas avoir perquisitionné la maison des Villemin le soir du drame. Pour sa défense le capitaine de gendarmerie Sesmat explique qu'il n'y avait aucune raison de faire cette perquisition chez les parents de la victime.
Les gendarmes et le juge Lambert ont maintenant des convictions divergentes et n'ont plus aucun échange. Le juge ne s'intéresse plus au cas de Bernard Laroche qu'il maintient pourtant en détention. D'ailleurs les charges pesant contre lui s'évaporent les unes après les autres.
Il y a d'abord les rétractations de Murielle Bolle, puis les expertises en écriture qui sont retirées du dossier en raison du non-respect de la procédure de la part du juge d'instruction. Enfin l'expertise du gendarme de la section de recherche de Reims qui avait mis à jour la présence d'une empreinte de signature portant les initiales "LB" sur une lettre du corbeau est tout simplement perdue. Pour couronner le tout, la lettre de revendication a été rendue quasiment illisible par les gendarmes en la recouvrant de poudre noire dans le but de découvrir des empreintes digitales. En résumé le dossier de Bernard Laroche est désormais vide.
Le dossier de Christine Villemin n'est guère plus étoffé et le juge Lambert va alors nommer un nouvel expert en écriture. Ses conclusions vont à l'encontre des premières expertises et disculpent Bernard Laroche. De ce fait le juge décide, contre l'avis du procureur, de le libérer le 4 février 1985. Mais celui-ci n'en demeure pas moins inculpé d'assassinat.
Dès le lendemain Gérard Wetzer, l'avocat des Laroche, invite une équipe de télévision à filmer les retrouvailles entre son client et sa famille après trois mois d'incarcération. Cette mise en scène a pour but de casser l'image d'assassin que peut avoir Laroche auprès du public. Mais tandis que l'atmosphère dans la vallée est détestable et qu'il est même menacé de mort, il décide tout de même de revenir chez lui. Son retour au travail est largement médiatisé et l'homme est peu à peu réhabilité.
Mais ce retour quasi-triomphal de Laroche rend les époux Villemin fous de rage, d'autant plus que les soupçons se portent maintenant vers Christine. Jean-Marie Villemin, dans une interview télévisée ne cache d'ailleurs pas qu'il a la conviction que la justice a libéré l'assassin de son fils. Cet avis est d'ailleurs partagé par certains journalistes et même par les gendarmes qui rendent régulièrement visite aux parents de Grégory. Sans le vouloir ils attisent la haine que ressent Jean-Marie envers son cousin.
Le 25 février 1985, Jean Ker, journaliste à Paris-Match particulièrement proche du couple, leur fait écouter sur une cassette, l'audition de Murielle Bolle accusant son beau-frère. Après trois heures d'écoute particulièrement éprouvantes, Jean-Marie se lève, prend un fusil à pompe et en le montrant au journaliste lui dit: "je vais buter Laroche".
Tentant de le raisonner, Jean Ker obtient de Jean-Marie la promesse qu'ils ne feront rien cette nuit. Rassuré il rentre alors à son hôtel. Mais pris d'un doute dans la nuit il se lève vers 4 heures du matin et se rend au domicile des Villemin où il se rend compte que leur voiture n'est plus là. Immédiatement il fonce vers le village où réside Bernard Laroche. Arrivé sur place il voit Jean-Marie Villemin agenouillé contre le monument aux morts pointant son fusil en direction de la maison des Laroche tandis que Christine l'attend dans la voiture. Leur cousin ne va pas tarder à rentrer de l'usine et ils ont l'intention de l'abattre à son retour.
Jean Ker se précipite alors devant la voiture et les supplie de ne pas faire "cette connerie". Après quelques minutes de discussion Jean-Marie renonce finalement à sa sinistre besogne. Désormais Laroche est au courant qu'il est menacé par son cousin, Jean Ker ayant relaté cette folle nuit dans les pages de Paris Match.
Quelques jours plus tard l'avocat des Laroche prévient par courrier le procureur de la République des menaces encourues par son client. Mais malgré cette intervention, aucune mesure de sécurité n'est prise par le préfet.
Au même moment, le juge Lambert désaisit le gendarmerie de l'enquête pour la confier à la police judiciaire. L'enquête redémarre pour ainsi dire à zéro et les policiers orientent immédiatement leurs soupçons vers la mère de Grégory. Pour mettre la pression sur elle et préparer l'opinion à son éventuelle arrestation, le commissaire qui dirige l'enquête utilise une de ses relations dans la presse. Il s'agit d'un journaliste travaillant pour huit médias influents en France dont la radio RTL. C'est d'ailleurs sur ses ondes qu'il va annoncer le 24 mars 1985 que des experts en écriture ont identifié l'écriture de Christine Villemin comme étant celle du corbeau.
Les Villemin apprennent la nouvelle en voiture alors qu'ils rentrent d'un dimanche en famille. Le choc est tel que Christine, alors enceinte, est prise de saignements et doit être hospitalisée.
C'est sur son lit d'hôpital qu'elle apprend, de la bouche du juge Lambert que c'est son écriture qui présente "le moins de discordances" avec celle du corbeau. Voyant sa femme hospitalisée et accusée du pire des crimes, Jean-Marie est à bout. Et ce qui devait arriver, arrive.
Le 29 mars 1985, Bernard Laroche rentre du travail en compagnie de son épouse aux alentours de 13 heures. Alors qu'il rentre sa voiture au garage, Jean-Marie Villemin surgit, une arme braquée vers son cousin. Le dialogue entre les deux hommes est court et tendu. Jean-Marie tire sur Bernard Laroche qui s'écroule mortellement touché à la poitrine.
Avant d'aller se livrer à la police, Jean-Marie Villemin se rend à la clinique et annonce la terrible nouvelle à Christine. Désormais, la jeune femme devra affronter seule l'acharnement de la presse et de la justice contre elle. Mais Christine Villemin ne craque pas et ne fait aucun aveu.
En outre aucun élément matériel incontestable n'apparait dans le dossier du juge qui ne peut, pour l'instant arrêter la mère de Grégory. Mais début juillet 1985, une nouvelle expertise la désigne encore comme étant le corbeau. Puis une cordelette identique à celle ayant servi à ligoter Gregory est retrouvée dans le garage des Villemin. Pourtant ceux-ci n'y vivent plus depuis des mois et il y a eu de nombreux passages dans la maison. Malgré la faiblesse des éléments à charge Christine Villemin est finalement inculpée par le juge Lambert le 5 juillet 1985 et placée en détention.
Dans sa cellule, Christine Villemin entame une grève de la fin de cinq jours alors qu'elle est enceinte de 6 mois. Jean-Marie l'imite à son tour. Pour le juge Lambert il n'existe qu'un seul mobile pour qu'elle ait ainsi tué son enfant: la folie. Il la fait donc examiner par plusieurs psychiatres mais rien ne ressort dans leurs conclusions.
A Lépanges, quelques journalistes convaincus de l'innocence de la mère de Grégory tentent de démontrer qu'il lui était matériellement impossible de tuer son fils et de poster la lettre de revendication dans le labs de temps établi par l'enquête. Chronomètre en main ils refont le parcours entre Docelles et Lépanges et en concluent que Christine Villemin ne peut pas être l'auteur de ce crime. Mais en dépit des contre-enquêtes de quelques journalistes, la majorité de la presse et la justice croient toujours en sa culpabilité.
Le journal Libération va même jusqu'à envoyer la romancière Marguerites Duras dans les Vosges pour qu'elle écrive ses impressions sur l'affaire. Son article qui fait de Christine Villemin une coupable fait scandale. Malgré la folie qui s'empare de la presse, le procureur d'Epinal considère toujours que rien ne justifie la détention de Christine Villemin. Et onze jours après son incarcération, elle est remise en liberté par la cour d'appel de Nancy.
Libre, Christine Villemin se réfugie dans sa famille en Alsace. De son côté Me Garaut négocie avec Paris-Match l'exclusivité des photos du futur bébé des Villemin en échange de 250000 F. Ce contrat servira à payer ses honoraires et à redonner une bonne image de sa cliente.
A la mi-octobre 1985, elle apparait radieuse à la une de l'hebdomadaire, avec Julien, son bébé, dans les bras. Mais ce reportage n'a pas l'effet escompté, bien au contraire. L'opinion publique ne comprend pas comment la mère d'un enfant assassiné puisse apparaitre tout sourire dans un magazine "people". Pour couronner le tout, Marie-Ange Laroche, fait, quelques semaines plus tard, la une de Paris-Match après son accouchement du fils de Bernard Laroche. Le contraste est saisissant. Ici point de sourire. Le titre est: "La mère en noir".
Malgré tout les avocats de Christine Villemin persistent dans leur stratégie en négociant de nouveaux reportages. L'effet est désastreux. Pour l'opinion, elle ne fait qu'utiliser son malheur pour gagner de l'argent. En plus elle publie un livre dans lequel elle clame son innocence qui est très mal accueilli par la presse.
Pourtant les Villemin ont cruellement besoin d'argent pour payer les honoraires de leurs avocats et les dommages et intérêts au bénéfice de la famille Laroche. Au total leurs dépenses s'élèveront à plus d'1,8 millions de francs.
A suivre...
Pour en savoir plus: http://gregoryvillemin.free.fr
C'est étrange.
A l'époque des faits un ami journaliste en lien avec le suivi de l’enquête m'avait relaté la thèse pratiquement certaine de la réalité.
A savoir, il s'agit d'un accident maquillé en crime.
Pourquoi ?
Parce que par négligence de surveillance le petit Grégory s'est noyé.
Pourquoi maquiller cet accident en crime?
Parce que sa mère était en plein acte adultérin avec...celui que le père a tué un peu plus tard, celui qui avait transformé cet accident en crime pour brouiller la trace du manque de surveillance pour des raisons insoutenables et injustifiables.
Simple, non ?
Mais est-ce une thèse que la justice a écarté ?
Rédigé par : Lumor | 01 juillet 2017 à 17:52
Le9pange sur Vologne est une jolie ville, e0 quelques kilome8tres de Ge9rardmer. Les gens de Paris ont dfb flaerir le bon coup rien qu en e9coutant parler les habitants, dont l accent leur a semble9 de9shonorer la belle langue frane7aise. Claudel serait presque suspect aujourd hui. Besson fait du sous-Fernandez, qui lui, au moins, avait un pe8re pour connaeetre certaines limites.
Rédigé par : Mozato | 30 décembre 2013 à 04:45
De ce que je lis, cette histoire comprends : la mort d'un enfant, un potentiel coupable, innocenté après avoir fait de la prison, mort par la suite sans aucune protection malgrès l'avoir signalé, de l'archarnement médiatique et judiciaire, des procédures allant à l'encontre des autorités, des analyses médico-légale et investigations matériel n'aboutissant à rien de concret, ayant énormément pris de temps, de la pression sur tous les témoins et personnes constituant la structure de l'affaire, des incoréhences sur les lieux, les dates, les heures, et ce aussi bien pour les présumés victimes ou coupables....
il y a ici, à cet instant, quelque chose de sûr : ce que j'en lis reflète une affaire dont on ne cherche ni à faire une correcte mise au point, ni une élucidation de l'affaire...
Rédigé par : pierric | 14 novembre 2013 à 13:48
j'avais 11ans quand s'est arrivé et aujourd'hui maman.Je suis sur que christine est bien innocente,son mari aussi.Perdre son enfant de cette manière est juste horrible et ne pas savoir doit l'être encor+. Je souhaite vraiment que les coupables soies découvert mais que ce soie les bons cette fois et qu'enfin les Vuillemin puisse faire le deuil.
Rédigé par : kakoo | 14 mars 2012 à 23:03
C'est une histoire si dramatique qui reste sans solution encore à ce jour. Drnièrement les tests ADN effectués n'ont pas apporté de novelles preuves dans cette triste affaire
Rédigé par : déguisement noel | 18 février 2012 à 23:04
si vous voulez écouter ou réecouter la voix du corbeau et y'a pas que moi qui dit que c une fille et non un gars allez sur youtube attention on entend pas très bien laisser des com
Rédigé par : liline | 18 février 2012 à 00:01
c ce que je pense c quelqu'un du village j'en suis sur qui tel est la question deux adn dont une fille et un gars donc c un couple fort jaloux qui se fait appeler le chef j'entends la voix de fausset du corbeau et je pense que ct une fille cousine, cousin jaloux
Rédigé par : liline | 10 février 2012 à 22:12
c'est le crime d'un taré et non une "simple" jalousie familiale.
le coupable est peut être plus éloigné de la famille qu'on le pense.
certainement dans le village...ou aux alentours
entourage professionnel
Rédigé par : wanderer | 09 février 2012 à 20:06
la preuve que la justice des hommes est fausse ou en est on de l affaire BRIGITE DEWEVRE DE BRUAY ( la il y avait un notaire et depuis y a plus rien )lol justice de riche ou justice de pauvre ....
Rédigé par : ladent patrick | 12 décembre 2011 à 21:57
bsr le crime parfait exsiste la preuve .Plus personne ne saura qui sait il ou elle est c est mieux ainsi .Ca aura fait au moins vendre des torchons et engraissès les avocats .et les libraires
Rédigé par : ladent patrick | 12 décembre 2011 à 21:48
pas mal comme article le petit gregory
Rédigé par : Jean pierre | 04 juillet 2011 à 11:22
La vérité triomphe toujours.Il suffit de vouloir la dire.Pour moi, cela ne fait aucun doute d'un complot et d'une complicité entre Marie Ange Laroche et Bernard Laroche.L'affaire est très simple: Jalousie.D'ailleur un courrier se perd alors qu'il est signé L.B(Bernard Laroche)et la fameuse lettre retrouvée du corbeau signée Corinne:annagramme de Marie Ange Laroche.A mon avis la vérité n'est pas loin...
Rédigé par : SKYSPACE | 24 octobre 2010 à 14:17
muriel bolle sait c'est une conviction perso
marie ange laroche sait que bolle sait mais l'omerta règne dans cette famille ce sont des taiseux comme on dit maintenant ...
Rédigé par : gaston | 15 octobre 2010 à 17:04
bon, moi je me suis interessee aux details de l affaire que depuis peu bien que j avais 11 ans quand le drame est arrivé et je m en souviens bien sur. En fait, si on ecoute le(s) corbeau (x), il est mentionné à plusieurs reprises le nom de Thiebaut. C est qui ça ? personne ne s est jamais interessé à cette personne ? il serait le père du "batard" et de l autre batard aussi puisque selon le corbeau, il y en aurait un autre. De plus, sur la bande de l un des appels adressé à J-M Villemin, il en est conclus par les experts qu on etntend en bruit de fond une machine à tisser ... personne n est allé voir s il y avait une manufacture de tissus dans la région du village des Villemin ?
Rédigé par : mila | 11 mai 2010 à 20:14
Bonjour à tous,
tout d'abord éclaircissons ce point une bonne fois pour toute Jean Marie est bien le père de Grégory. cela a été démontré scientifiquement. ensuite, il est évident que muriel bolle et laroche sont impliqués à des degrés divers dans cette histoire. même s'ils n'ont pas tué l'enfant, au moinq l'ont ils livrés! les corbeaux sont plusieurs, les assassins aussi : la famille jacob a du souci à se faire car l'adn va parler
Rédigé par : janiece | 09 décembre 2009 à 10:46
L'homme "nerveux"; complice de Laroche, qui attendait ce dernier a l'auberge le soir du crime est Marcel Jacob(2e corbeau) jeune frère de Monique Villemin.Il etait en fait l'once de Laroche,ils avaient pratiquement le meme age et une forte ressemblance physique (2e protrait robot identique a Laroche)Et avaient également été élevé ensemble .ils etaient voisins( en fait les époux Jacob étaient les plus proches voisins des époux Laroche on pouvait aller d'une maison a l'autre sans etre vue par un tiers.) Ils avaient deplus la meme haine envers les villemins.la promotion de Jean-Marie Villemin avait fait ombrage a Marcel Jacob qui était meme jusqu' aller dire "je ne serre pas la main a un chef".
l'expertise en ecriture de monsieur Denis Klein et madame Isabelle a mis en évidence certaine concordances troublantes entre l'écriture de Marcel Jacob en lettres d'imprimerie et le deux premières pièces de questions en caractères typographiques.
voir lien :charges contre Marcel Jacob
p.s. désolée pour la syntaxe! je vous fait parvenir de mes comentaires de montréal au Québec, je ne suis pas francaise.
Rédigé par : Mia | 08 décembre 2009 à 19:21
A l'poque du crime ... Bernard Laroche et sa femme Marie-Ange Laroche sont placés en garde à vue mais, en l'absence d'aveu, ils sont relâchés au bout de 24 heures. Malgré tout les gendarmes s'accrochent à cette piste et s'intéressent à l'emploi du temps de Bernard Laroche au moment du meurtre.
Marie-Ange Laroche et Murielle Bolle (15 ans et sœur de Marie-Ange Laroche) affirment que Bernard Laroche se trouvait à Aumontzey à 17 heures 20. Cependant les détails ne collent pas et soudain Murielle Bolle (15 ans) craque ; elle avoue qu'elle est rentrée du collège avec Bernard Laroche et qu'ils sont directement partis à Lépanges. Elle explique aux gendarmes que là-bas qu'elle a vu Bernard Laroche prendre le petit Grégory.
Tandis que Murielle Bolle s'occupait de Sébastien, le fils de Bernard Laroche, dans la voiture, son beau-frère Bernard Laroche serait sorti avec Gregory et serait revenu quelques minutes plus tard sans lui. Compte tenu de l’importance de ses déclarations, Murielle Bolle est placée en garde à vue et le procureur demande au juge Lambert de venir auditionner lui-même la jeune fille.
Or la scène se passe en fin de semaine et le juge préfère remettre cette audition au lundi suivant ... parce qu’il s’absente ...
Et c'est bien là le problème ...
Remise en liberté, Murielle Bolle passe le week-end en famille. Plus tard,influencée et manipulée par sa sœur Marie-Ange Laroche et peut-être d’autres membres de sa
famille (?)revient sur sa déclaration …
Et, actuellement en fin 2009 on voit à nouveau Marie-Ange Laroche vouloir contrôler de redémarrage de l’enquête en assurant la défense de son mari ...
Or, celui-ci ne lui a pas dit ce qu’il en était, et qu’effectivement il a bien pris Grégory sur le tas de sable devant la maison de ses parents et qu’il l’a amené à la maison de Jacky Villemin et sa femme …
Rédigé par : [email protected] | 08 décembre 2009 à 13:20
Pour ce qui est du corbeau ; il y en a plusieurs, le couple et ... mais dans la famille. Sa haine du meurtrier pour le père du petit Grégory est la haine familiale de celui qui ne se "considère pas comme étant de la famille" ... Ses transits planétaires indiquent bien à l'époque du crime son "passage à l'acte", de la violence en lui, de la haine ... Il a par ailleurs, un thème astral d'assassin éventuel (pluton carré mars)et angulaire et le scorpion fort dans son thème(seuls les astrologues me comprendront ...).
Rédigé par : [email protected] | 05 décembre 2009 à 07:13
Je rajoute que le meurtrier a un thème astral à mourir d'un suicide et dans l'eau, alors se jettera t-il dans la Vologne ? ... Ses transits planétaires indiquent des ennuis de justice dans l'année 2010. L'astrologue à l'époque s'était rendu chez les grands-parents du petit Grégory qui étaient dans une souffrance terrible et qui n'espéraient qu'une chose c'est que le toit de leur maison leur tombe sur la tête. La grand-mère de Grégory a posé une question précise à l'astrologue à laquelle il a préféré mentir pour ne pas répondre pour ne pas la voir s'effondrer davantage.
Il a laissé des écrits dans ce sens en disant qu'il lui avait menti, en espérant qu'elle le pardonnera quand elle saura la vérité. Or, elle ne tardera pas à la savoir en 2010 ... et j'espère qu'elle n'en tiendra pas rigueur à l'astrologue. Etant donné la circonstance il n'avait pas trop le choix ...
Rédigé par : [email protected] | 04 décembre 2009 à 21:52
Ce qu'affirmait un astrologue de renom à l'époque n'a jamais été pris en considération.
Pourtant il clamait "haut et fort" dans les journaux à l'époque qu'il connaissait le nom de l'assassin. Cet astrologue est malheureusement mort d'un cancer depuis plusieurs années, mais il a laissé des écrits parce qu'il voulait que la vérité éclate. Avec son groupe d'astrologie à l'époque ils ont réussi à se procurer tous les extraits de naissance des protagonistes de l'affaire et à étudier tous les thèmes des membres de la famille. Je n'ai malheureusement pas connu cet astrologue, mais l'un de ses élèves par la suite et j'ai eu accès au dossier qu'ils avaient étudié quand j'ai appris que l'affaire était relancée grâce aux tests ADN. J'en arrive aux mêmes conclusions que ce groupe d'astrologie. Ils avaient 15 ans d'astrologie et mois seulement 4 an 1/2 mais je suis d'accord avec eux sur cette étude. Le meurtre a été commis par un complot de 3 personnes, même si ce n'est pas celui qui est mort qui a assassiné le petit Grégory. Le meurtrier et sa femme vont avoir de sacrés ennuis judiciaires en 2010 parce que les tests ADN vont livrer les coupables. Du haut du ciel je sais que cet astrologue veille sur le résultat des tests ADN et qu'il va être content que la vérité éclate enfin. Il avait même trouvé la couleur de la voiture du meurtrier en montant le thème de l'heure du crime. Il a voulu vérifier s'il ne s'était pas trompé et il s'est rendu sur place pour vérifier s'il voyait les voitures concernées et il les a bien trouvées ...
Donc, je dis à tous ceux qui me lisent que le meurtrier et sa femme sont encore en vie même si leur complice est mort. Quant à une certaine jeune fille à l'époque, et bien elle a menti, manipulée par des membres de sa famille et elle porte en elle quelque chose qui lui pèse lourd depuis des années. Elle va cependant être obligée dans les mois qui viennent de confirmer ses premiers dires qui étaient exacts ...
Rédigé par : [email protected] | 04 décembre 2009 à 21:41
Monsieur,
C'est avec beaucoup d'interet que je suis l'affaire Gregory,et si j ai decidé d ecrire,c'est qu il y a beaucoup de chose qui sont assez trouble.
Je vais vous faire une analyse qui vaut ce quel vaut,et que vous pourrez certainement faire suivre au policier;
La premiere des choses,je trouve très ressemblant le petit Gregory et Bernard Laroche,plus je regarde les photos plus cela me travail et j en ai fait les conclusions suivantes.
Bernard Laroche etait amant de Christine Villemin,de cette relation naitra le petit Gregory,un corbeau envoie une lettre anonyme a Mr Villemin,qui apres discution et colére demandera a sa femme la vérité.Celle-ci avouera,il lui demande de ce debarasser de cette enfant.Tous les deux ce debarasse de l enfant,ils font en sorte d'accuser Bernard Laroche,mais la crainte c est que Bernard craque est avoue ne pas pouvoir tuer cette enfant car il est le sien,alors Mr Villemin decide de tuer Bernard Laroche pour le faire taire,ce qu'il fit.Des années plus tard les Villemin qui sont pas tranquille et voient la science faire des progrés,et que l ont face des comparaison ADN avec Bernard Laroche,decide de faire exumer Gregory et de le faire inciner le 23/02/2004,ce qui mettera fin peut etre a leur histoire,
Rédigé par : fredy.38 | 26 novembre 2009 à 08:51
je suis lenquete depuis le debut,voici ma conclusion,,bernard laroche avait une relation avec christine villemin,en plus ce dernier avait des relations avec muriel bole,,muriel na pas supporté cette trahison de christine vis a vis de son mari ainsi que d elle meme,,par vengeance sentimentale muriel a tué le petit gregory,,mais bernard laroche par naiveté ou par amour a accompagné muriel en voiture pour le rapt,les corbeaux muriel et bernard,cest histoire est simple a resoudre alors que fait la justice,alors que cette derniere a toutes les preuves depuis le debut de lenquete
Rédigé par : [email protected] | 11 novembre 2009 à 14:12
Bonsoir,
J'ai essayé de lire tous les commentaires postés, il y en a beaucoup donc pardon si je répète ou redis des choses déjà dites...
Je suis très intéressée aussi par cette affaire comme beaucoup de personnes.
Je lis actuellement le livre de Marie-Ange Laroche (j'en ai lu d'autres auparavant sur l'affaire) et je dois dire que ma conviction que Laroche est le coupable n'est plus aussi forte qu'avant. Je ne peux pas m'empêcher de me dire "et finalement si ce n'était pas lui!". J'ai du mal à l'imaginer mettre un gamin de 4 ans à l'eau, sachant qu'il en a un du même âge à la maison. J'ai du mal à imaginer comment on peut faire ça en ayant un enfant du même âge... Alors c'est vrai que tout va vers lui, c'est vrai que ça collerait parfaitement mais justement ça colle trop... on en a vu des affaires où tout était évident, des mecs qui ont passé des années en prison alors qu'ils étaient innocents, et même certains qui ont été guillotinés!
Et puis, si tout l'accablait et si vraiment il était coupable pourquoi continuer à clamer son innoncence? Et risquer (il le savait) des représailles... Non vraiment y a quelque chose qui coince. Tout est trop évident, qu'est-ce que ce mec, avec un travail, une famille irait risquer de passer sa vie en prison?
Biensûr, je ne dis pas qu'il complètement étranger à cette histoire!
D'après moi, plusieurs corbeaux ont agi dans cette histoire et il certain qu'ils faisaient partie de la famille ou de l'entourage proche. Il y a certainement eu ensuite un élément déclencheur qui a fait qu'un d'entre eux est passé à l'acte. Ils ont probablement préparé ça bien à l'avance, à les surveiller, voir quand le petit était seul, etc... Tout c'est trop bien imbriqué, ce ne peut pas être le fruit du hasard.
D'après moi, des personnes savent et ont probablement même participé à ce crime.
Murielle Bolle a, à mon avis, participé à l'enlèvement mais avec quelqu'un d'autre. Ces déclarations sont trop précises et exactes pour être mises de côté. Elle a sûrement cherché à accuser quelqu'un pour protéger quelqu'un d'autre. Son frère par exemple. Mêmes initiales, même physique.
Mais on ne s'y est jamais vraiment intéressé.
Il y a des gens qui savent, c'est sûr. Et peut-être même qu'ils nous lisent...
J'espère qu'un jour la vérité sera faite sur cette histoire, j'y crois personnellement, je ne pense pas que l'on puisse vivre avec ça sur la conscience indéfiniment.
Rédigé par : JC | 10 novembre 2009 à 22:05
assez dubitative ce matin. Tous les forums ou l'on peut discuter de l'affaire ferment les uns apres les autres. La justice avancerait elle enfin ?!
Rédigé par : mamour | 07 novembre 2009 à 12:26
concernant l'insuline et tout l'attirail, un detail m'interpelle..il n'a peut etre pas été possible d'identifier de trace adn (peut etre que l'injecteur a utilisé des gants fins) mais le numero de lot ne pourrait t'il pas remonter a l'ordonnance et savoir une bonne fois pour toute a qui il appartenait??? dans le cas ou ça se rapprocherait de la famille laroche, je crois que les doutes seraient levés et qu'il faudrait peut etre que certaines personnes se mettent a table et parlent enfin !
Rédigé par : ratatouille | 03 novembre 2009 à 18:42
pardon sextoys, je m'adressais a christian
Rédigé par : ratatouille | 03 novembre 2009 à 18:07
sextoys, vous delirez !!!!
et l'adn retrouvé sur le blouson de gregory etait le sien, il est donc prouvé que jean marie est bien son père....
pour info, c'est ginette villemin (femme de michel, et belle soeur de christine et jean marie) qui couchait avec laroche ! (une complice potencielle, jalouse de christine)... il faudrait suivre, un peu
Rédigé par : ratatouille | 03 novembre 2009 à 18:06
Je suis d'accord avec les comentaires de Chris... Il a entièrement raison...
Laroche était le corbeau, c'est une certitude. Il observait ce qui se passait chez Albert avec sa longue vue et savait ainsi tout de ce qui se passait chez eux..... Dans ce cas, sa femme ne peut pas ne pas avoir été au courant de ses agissements... Est-elle complice ? Personnellement, je le pense...
Muriel a participé à l'enlèvement avec Laroche, c'est une certitude également (malgré sa rétractation obtenue sous la pression de sa sœur et de sa mère). A t-elle fait elle-même la piqure d'insuline, je le crois...
Il faudrait mettre en examen cette femme le plus rapidement possible... Elle sait tout... N'oublions pas qu'à l'époque des faits, elle vivait chez sa sœur...
Quant à l'assassin, je ne pense pas que ce soit Laroche. Ils étaient plusieurs dans cette affaire... Laroche a remis l'enfant à Docelles à une tierce personne et est parti se faire un alibi au niveau de l'heure...
Il y avait, ce jour, un homme dont on a fait un portrait robot; ce portrait ressemblait fortement à Laroche. Mais ce n'est pas Laroche. C'est le portrait de l'homme qui a attendu un long moment à l'auberge de Docelles, homme qui avait l'air anxieux, qui regardait souvent dehors et qui a disparu tout à coup...
Quel était, à l'époque, l'homme qui avait approximativement le même âge que Laroche, qui avait le même "look" que lui et qui vouait, lui aussi, une haine farouche aux Villemin et à Jean-Marie qu'il est le premier à avoir appelé "le chef"...?
Pour moi c'est cet homme qui a réceptionné l'enfant, qui l'a ficelé après avoir attendu que l'insuline fasse son effet et qui l'a jeté dans l'eau...
Cet homme qui a su rester discret ensuite et qui était le voisin des
Laroche avec lesquels il passait de longs moments...
Cet homme c'est Marcel Jacob et, pour moi, il est impliqué au premier chef dans cette malheureuse affaire...
Espérons que l'ADN permettra de résoudre, enfin, ce drame de la jalousie et de la haine.
Dans un premier temps, il conviendrait de mettre en examen Marie-Ange Laroche et sa sœur...
Rédigé par : Jules | 27 octobre 2009 à 17:44
il revient désormais au président de la chambre de l'instruction, Jean-François Pontonnier, «d'exploiter ces résultats en faisant des prélèvements ADN sur différentes personnes» mêlées à cette affaire. Précision importante, «les traces ADN des parents ne figurent pas sur les pièces à conviction». Des prélèvements avaient été faits sur eux en vue de cette nouvelle expertise. Une information qui tend donc à écarter Christine et Jean-Marie Villemin de toute responsabilité - au moins directe - dans l'envoi du courrier par le corbeau. Mais qui ne présume pas de leur innocence dans la mort de Grégory.
Rédigé par : sex toys | 22 octobre 2009 à 16:50
Pourquoi ne parle-t-on jamais de l'ADN de Gregory qui pourrait dire qui est son père?
La ressemblance flagrante de Gregory et Bernard Laroche a été reconnue à l'époque.
Cela donnerait un autre sens au meutre de Jean Marie Villemin qui aurait tué Bernard L.non pas en tant que corbeau mais père de Gregory.
Rédigé par : christian | 22 octobre 2009 à 10:20
@ PATOU, 16 janvier, 21:30
Bravo pour la leçon! Encore faudrait-il que le donneur de ladite leçon soit irréprochable quant à sa syntaxe: "Et quand je ne sais pas, j'ai pour sage habitude que de me taire." N'y a t'il pas un mot de trop? Je ne mentionnerai même pas la faute d'accord du 2nd paragraphe.
Mais taisez-vous donc! Et laissez s'exprimer ceux dont l'orthographe est peut-être incertaine, mais qui ont quelquechose à dire, eux.
Rédigé par : c-kissa | 19 septembre 2009 à 21:26
Connaissant très peu cette affaire (j'ai grandi avec), j'y m'y suis interessé il y a 2 ans... je connais maintenant beaucoup de détails de cette affaire... (voir site gregoryvillemin.free.fr où on y trouve bcp de procédures rendues publics)
Pour rebondir sur le dernier commentaire, il est clair que cette affaire n'aurait jamais dû avoir un impact autant médiatique... cela aurait très certainement changer le cours des choses...
Néanmoins tout crime d'enfant est crapuleux... mais dans leur malheur, les époux villemin ont quand même pu mettre en terre un corps... et peuvent toujours s'y recueillir...
Je suis père de 3 enfants et je ne saurais trouver la force dans un cas comme la famille Mouzin...
Rédigé par : Michael | 17 septembre 2009 à 16:12
RIP Grégory
Rédigé par : juju45 | 02 septembre 2009 à 18:13
Réponse à Josie,
Non j'insiste, il y a eu beaucoup de crimes d'enfants nettement plus difficiles physiquement et psychologiquement pour la victime que celui de Grégory, du moins d'après ce qu'on sait des circonstances de son décès... Et justement vous faites bien d'en parler, les meurtres à connotation sexuelle et sadique font, hélas, partie de ce genre de crimes de cruauté nettement supérieure...
Certaines pistes très sérieuses (mais jamais explorées, merci juge Lambert) laissent entendre que Grégory était inconscient au moment de sa noyade : visage serein lorsqu'on l'a retrouvé, peu d'eau dans les poumons en comparaison avec les noyés "classiques", excusez l'expression...
Pourquoi était-t-il inconscient ? On en sait rien ! Cela dit, je doute que Grégory ait souffert... Et c'est pas plus mal...
Rédigé par : Boolean | 07 mars 2009 à 22:40
reponse à boolean
ne vous mettez pas trop en colère tout de même vous avez raison pour les scenarios bidons
la justice à tranché en faveur de la maman il n'y a plus de doute à ce sujet pourquoi la remettre en doute
par contre je ne suis pas d 'accord avec vous ce n'est pas n'importe quel crime d'enfant c 'est un des plus odieux c 'est un acte reflechit rempli de haine rien à voir avec les crimes sexuels ou de sadiques
j'espère qu'il sera reconnu un jour je pense que le responsable si il est encore en vie j'en doute fort ou leurs complices ne doivent pas en mener large j'attends de voir j'espère que les tests ADN parleront
Rédigé par : josie | 04 mars 2009 à 23:26
C'est à la fois amusant et déprimant cette obstination à monter des scénarii bidons, plus de 20 ans après...
Aprés tous les désordres que ça a pu occasionner au coeur de l'affaire. A croire que la vraie leçon n'aura, en fait, jamais été retenue...
Des meurtres d'enfants il y en a eu plein... Et celui de Grégory n'était pas le pire en matière...
Ce qu'il y a de plus horrible, je dirais, ça aura été de voir la connerie l'emporter jusqu'à incriminer la mère de l'enfant alors qu'il n'y avait rien du tout contre elle : absence de preuve, absence même de raison en fait...
L'instruction a été formelle sur ce point :) ! Maintenant s'il y a des blaireaux réfractaires, je serais ravi de répondre à leurs questions... Moi je commence à en avoir marre de toutes ces conneries :) !!! Je risque de devenir méchant par contre :) !
Rédigé par : Bolean | 28 février 2009 à 18:29
Pour ceux qui on vu le film"MISSISIPIBURNIN", rappelez vous de la scene ou un policier noir du FBI interroge un homme du KKK pour lui faire avouer ou ce trouve les corps de 3 jeunes qu'ils ont assassiné. Je pense qu'il aurait fallu faire pareil avec un des frères de JM ou avec un menbre du clan LAROCHEBOLLE. Je sais que ces gens savent et surement qu'ils sont complices de quelque chose. Ca n'aurait eu aucune valeur juridique mais si ca avait été enregistré et diffusé on aurait enfin su et les langues auraient commencées a ce délier.Ce petit Grégory qui ne demandait qu'a vivre et qui est mort assassiné par un ET une ordure...En 1985, j'allais rendre visite a une personne a la prison Charles3 a Nancy et c'est là que j'ai vu pour la 1ere fois Christine qui venait voir JM. J'ai eu alors une drole d'impression en la voyant.J'avais envie de les aider mais... Il aurait fallu employer ma méthode, d'abord, et ensuite chercher des indices.Repose en paix petit GREG un jour on saura la vérité tu verra...
Rédigé par : fabiano | 24 février 2009 à 22:31
je reponds à jerome
c 'est n'importe quoi comment pouvez vous dire de telles aberations ne trouvez vous pas que la famille a assez subit sans trouver de fausses ressemblances avec laroche c 'est tout le contraire le petit gregory ressemblait trait pour trait à son papa et avez vous vu la tête de ce mec 'gros et laid 'je ne pense pas que Christine une jolie jeune femme est craqué pour ce type (qui plus est un cousin ) un peu de logique
je trouve normal que J M est fait la peau de ce monstre dommage pour la suite de l'enquète je pense qu'il l'a regretté également mais ils etaient à bout beaucoup de personnes ont eu le malheur de perdre un enfant dans des conditions de meurtre sadique entre autre ont envie de faire justice eux même il n'y a rien d 'anormal au comportement de JM
d 'autre part je trouve normal que les gens continuent à s 'interresser à cette affaire non resolue ainsi cela permet de ne pas oublier ce petit garçon qui demandait qu'a vivre tout cela reste de la jalousie comme il y en a beaucoup dans les familles sauf que là ils ont fait fort je pense que ci la science (ADN)fait son oeuvre nous pourrons tourner une page de cette histoire qui fait encore beaucoup parler j'en suis consciente
Josie
Rédigé par : couret | 20 février 2009 à 08:43
inchallah comme not dit chez nous ! que le criminel soit devoile avant 2011 . que cet enfant etait tres beau ; c est hunimain celui qui est l auteur de ce crime!
Rédigé par : naidji | 15 février 2009 à 22:04
il n'y guere de doute, dans la culpabilite de bernard laroche et sa niece doit porter un lourd fardeau a continuer a nier la verite contre beaucoup de temoins a sa sortie de l'ecole
Par contre le comportement de jean marie villemin est assez etrange au point d'assassiner son cousin comme s'il voulait enterrer une fois pour toute une verite et comment une mere n'a pu entendre de sa maison une voiture qui venait kidnappe son fils
Beaucoup d'incertitude dans tout çà
Rédigé par : dadidou | 12 février 2009 à 22:35
j'ai toujoure etais passioner par cette histoire mais qqchose me frappe prennais la photo de gregorie est mettais la a cote de son pere est de bernard loroche la ressanblance avec bernard laroche est frapante personne na emis cette hypothese est ces flagrents jmv apprend la veriter sur son enfant ilegitime il le tue a la sortie de bernard larroche jmv le tue il atire la conpassion du publique est il est liberer rapidement de plus on ne parle jamais de son alibie les seul personne a etre citer dans cet affaire son bernard larroche est ca mere s'en jamais parler du pere en reouvrent le dossier en 2008 il eloigne les soupcons a leur encontre. desoler pour les fautes d'ortographe j'ai pas etudier
Rédigé par : jerome | 12 février 2009 à 17:15
Laroche est probablement le corbeau et le ravisseur. C'est d'ailleurs une des conclusions de l'instruction, bouclée en 93 me semble-t-il. Cela dit, pas de preuve matérielle : juste un faisceau d'indices.
On notera que l'abandon de la piste Laroche est le résultat d'un concours de circonstances assez étonnant :
1 - Muriel Bolle remise à sa famille au lendemain de son témoignage. Erreur du juge Lambert car il était bien évident qu'elle subirait d'importantes pressions dans son cercle familial. Il l'avait prévu lui-même d'ailleurs, mais en a sans doutes sous-estimé l'importance.
2 - Annulation des premières expertises en écriture pour vice de procédure. Le juge Lambert (encore) ayant chargé la gendarmerie nationale de nommer un expert au lieu d'en choisir un lui-même.
3 - Disparition du rapport d'étude concernant le foulage retrouvé sur une des lettres du corbeau.
Bref, trois éléments à charge qui incriminaient directement Laroche et qui sont partis en sucettes à cause d'erreurs qui auraient pu être évitées.
Quoiqu'il en soit, selon moi, la seule conclusion qu'on puisse donner à cette affaire en l'état actuel des éléments tangibles, c'est que Laroche était probablement le corbeau et le kidnapeur. Etait-t-il l'assassin ? Avait-t-il des complices ? On en sait strictement rien. On a même aucun début de piste...
Eplucher l'affaire en long en large et en travers... se livrer à l'élaboration de tous les raisonnements et scénarii possibles ne mènera nulle part... Ce boulot a déjà été fait et par des équipes de professionnels :) !
Je ne crois pas qu'on ira vraiment plus loin ici en se triturant les méninges... Surtout quand on lit certains commentaires. Pour un peu on se croirait revenu aux délires furieux des médias de l'époque (qui ont largement participé à pourrir l'instruction d'ailleurs...)
Je doute que quoique ce soit relance l'affaire Grégory... Il faudrait de nouveaux témoignages ou aveux...
Or, 24 ans après les faits, pas évident de vérifier la crédibilité d'un nouveau témoin. Et les maboules en quête de reconnaissance ou de pub sont partout.
Quant à d'éventuels complices ou assassins, ils seraient bien cons de l'ouvrir aujourd'hui après être passés entre les gouttes jusqu'à aujourd'hui.
Rédigé par : Boolean | 10 février 2009 à 05:19
il est bon de critiquer les fautes de frappe quel siècle vivaient vous ?
c 'est le procés de qui ?vous vous trompez de cible il n'y a pas que les bons en ortographe qui ont le droit de s'exprimer
cela dit je compte beaucoup sur la science pour enfin de découvrir la clé de ce mystère
ainsi le petit gregory reposera en paix avec une pensèe pour les parents frères et soeurs
josie
Rédigé par : josiane | 01 février 2009 à 09:03
“C’est mieux sans faute de frappe“
Mes excuses Jorge !
Une forme bleue dans la Vologne est aperçue vers 17h30, à l'endroit même de la découverte du corps de Grégory (aucun sac poubelle n'a été retrouvé à cet endroit). Le ruisseau "Barba" est plus discret que la caserne des pompiers.
Rédigé par : Patou | 16 janvier 2009 à 21:41
“C’est mieux sans faute de frappe“
Mes excuses !
Une forme bleue dans la Vologne est aperçue vers 17h30, à l'endroit même de la découverte du corps de Grégory (aucun sac poubelle n'a été retrouvé à cet endroit). Le ruisseau "Barba" est plus discret que la caserne des pompiers.
Rédigé par : patou | 16 janvier 2009 à 21:37
LB à 17h50 serait à la caisse du magasin Champion. Ce point horaire correspondrait à l'achat de son vin, effectuté directement en remontant sur sa route entre Docelles et son domicile à Aumontzey (entre nous, pourquoi ramener Murielle à Aumontzey ?). Murielle serait restée dans la voiture au parking pour ne pas être vu et impliqué avec LB. Cette hypothèse repose sur le témoignage d'un frère à Murielle qui précisait au départ de l'enquête: "que Murielle disait à ses parents qu'elle était avec Bernard chez Champion".
Dans cette hypothèse Laroche disposerait donc d'un temps entre 17h10 et 17h15 devant la maison de Grégory - 17h32 l'appel revendiquant le crime (envoyé de Docelles peu après 17h30) et 10 minutes plus tard il serait au magasin Champion. Donc aucun pb dans la réalisation... Laroche est le seul sans alibi dans ce créneau horaire
Une forme bleu dans la Vologne est apercue vers 17h30, à l'endroit même de la découverte du corps de Grégory (aucun sac poupelle n'a été retrouvé à cet endroit). Le ruisseau "Barba" est plus discret que la cacerne des pompiers.
Rédigé par : Patou | 16 janvier 2009 à 21:32
Je suis effondré par deux choses : d'une part le dogmatisme des commentateurs (c'est elle l'assassin, ou alors elle est innocente)mais également par les fautes d'orthographe et de français qui truffent les commentaires.
Sur le premier point : il est vrai que la justice ne s'est pas forcément montré à la hauteur dans cette affaire, mais est-il si facile d'attendre d'elle toujours la perfection?
N'êtes vous pas un peu lâches en tirant toujours à boulets rouges sur la fonction publique, que l'on étrangle gentiment sans rien dire au fil du temps ? (regardez ce qui se passe à présent dans nos hôpitaux...)
Madame Villemin n'a pas toujours eu une comportement compréhensible, et je ne dis rien en celà qui puisse l'accuser ou l'innocenter. Je n'en sais rien. Et quand je ne sais pas, j'ai pour sage habitude que de me taire.
Tout ce que je sais, c'est que l'enfant est mort.
Le reste, c'est du dogmatisme.
En revanche, sur le second point, chacun d'entre vous pourrait être un peu plus attentif à son français, il dirait d'ores et déjà moins d'âneries...
Rédigé par : Jorge | 08 janvier 2009 à 02:16
@PTNV
Ou celui-ci :
http://thinesclaude.wifeo.com/affaire-gregory---sommaire.php
Rédigé par : Claude94 | 06 janvier 2009 à 12:37
à ptvn , je pense qu'il s'agit de ce site.
http://gregoryvillemin.free.fr/
Rédigé par : Quién es? | 02 janvier 2009 à 14:03
nul doute que la mere de l'enfant n'est pour rien dans cette affaire;
par contre certains membres de la famille sont coupables:un homme et une femme certes et aussi un ou deux autres complices qui sont tombés dans leur panneau!
ceux qui sont si surs que 24 ans apres,on ne pourra rien decouvrir ou qu'ils ne risquent rien,pourraient bien avoir des surprises!
Rédigé par : yoshikawwa | 15 décembre 2008 à 01:59