Grégory Villemin, quatre ans, vit avec ses parents Christine et Jean-Marie dans un pavillon de Lépanges sur Vologne, dans les Vosges. Le 16 Octobre 1984, vers 17 heures, Grégory disparaît alors qu’il jouait dans un tas de sable devant chez lui. Aussitôt les gendarmes sont prévenus et commencent leurs recherches. Le soir-même à 21 heures 15 ils découvrent le corps sans vie du petit garçon immergé dans la rivière Vologne à Docelles, le village voisin. L’enfant est retrouvé échoué sur un barrage. Il a les mains et les pieds attachés par une cordelette mais ne présente aucune trace de violence. A Lépanges c’est la stupéfaction. Les parents de Grégory expliquent que le crime a été revendiqué par téléphone seulement trente minutes après sa disparition. C’est Michel, le frère de Jean-Marie, qui a reçu ce coup de fil dans lequel une voix anonyme dit avoir tué et jeté Grégory dans la Vologne. D’après la description de cette voix plutôt rauque, les époux Villemin reconnaissent la voix d’un corbeau qui les harcèle au téléphone depuis plusieurs années.
Dès le lendemain l’affaire fait la une de tous les journaux avec la photo du corps de l’enfant. Un journaliste de RTL réalise une interview de Jean-Marie Villemin dans laquelle il prétend, la gorge serrée par l’émotion, connaître l’identité de l’assassin de son fils. Cette confession attise la curiosité des journalistes, d’autant plus que Jean-Marie Villemin a reçu, le matin même une lettre de revendication du crime postée par le corbeau, le 16 Octobre à 17 heures 15 à la Poste de Lépanges. Dans cette lettre il est écrit : « Ce n’est pas ton argent qui pourra te redonner ton fils. Voilà ma vengeance. Pauvre con ». Les gendarmes découvrent alors que cette lettre n'est pas la première envoyée par le corbeau. Les parents de Jean-Marie Villemin ont déjà reçu deux lettres dans lesquelles le corbeau profère des menaces à l'encontre de la "petite famille du chef", surnom donné au père de Grégory.
Les enquêteurs poursuivent leurs investigations au domicile des Villemin. Ils apprennent qu'au moment de son enlèvement Grégory jouait dans un tas de sable devant la maison. Sa mère, qui faisait du repassage à l'intérieur n'a rien vu, les volets étant fermés. Ne trouvant aucun indice à Lépanges, ils concentrent leurs recherches à Docelles en essayant notamment de découvrir le lieu d'où a été jeté l'enfant dans la Vologne. Après plusieurs essais avec des mannequins, ils parviennent à la conclusion que Gregory a été jeté à l'eau près de la caserne des pompiers, en plein centre du village et en plein jour, sans que personne ne voit rien.
L'autopsie de l'enfant est incomplète puisque l'eau de ses poumons et ses viscères ne sont pas analysés par le médecin légiste. On ne saura donc jamais l'heure exacte de la mort de Gregory.
A Lépanges c'est un déferlement médiatique qui entoure les obsèques de l'enfant. L'affaire attire toute la presse française et les moindres faits et gestes sont épiés.
Afin de canaliser l'engouement des journalistes, les gendarmes sont obligés de faire un point presse deux fois par jour. Mais, revers de la médaille, le secret de l'instruction n'est plus vraiment respecté. L'influence des journalistes dans cette affaire est telle que la station de radio Europe 1 va suggérer à la famille Villemin le nom d'un avocat: Maître Garaut. Un journaliste de Paris Match, Jean Ker va utiliser ses bonne relations avec l'avocat pour publier un reportage dans lequel figurent des photos prises chez les Villemin et notamment dans la chambre de Grégory. En outre, il publie pour la première fois des photocopies des lettres du corbeau. L'affaire va ainsi rester à la une de l'actualité pendant des mois.
Quelques jours après le meurtre, Jean-Marie Villemin reçoit à nouveau une lettre du corbeau qui lui écrit: "J'espère que tu mourras de chagrin, le chef". Le père de Grégory est ainsi nommé "le chef" en raison de son poste de contremaitre et sa réussite professionnelle suscite bien des jalousies. C'est ce que constatent les gendarmes en enquêtant sur les appels anonymes reçus par le couple depuis des mois. La jalousie d'une certaine réussite matérielle pour un jeune homme de 26 ans semble être la principale motivation du corbeau.
Un évènement familial survenu deux jours avant le drame attire l'attention des gendarmes. Les Villemin ont reçu chez eux pour la première fois depuis longtemps, Michel, le frère de Jean-Marie, et son épouse. A l'occasion de cette visite, Jean-Marie "leur en met plein la vue": canapé en cuir, projets d'extension de la maison, etc... Les gendarmes se demandent alors si cette visite n'a pas été l'élément déclencheur pour le corbeau.
Pour la presse, la vérité se trouve au sein de la famille Villemin dont toute l'intimité va être déballée dans les journaux. Comme les journalistes, les gendarmes sont convaincus que le corbeau est un membre de la famille. Ils vont donc vérifier l'alibi de toutes ces personnes en leur faisant systématiquement passer une dictée. C'est ainsi qu'ils vont se rapprocher de Bernard Laroche, le cousin germain de Jean-Marie Villemin. Comparée aux lettres du corbeau, son écriture est jugée intéressante par un expert graphologue. De plus la famille Laroche est au courant de tout ce qui se passe chez les Villemin de par leurs relations avec Michel, le frère de Jean-Marie.
Pour vérifications, le juge d'instruction va faire venir de Paris Marie-Jeanne Berichon-Seyden, experte en écriture. Toutes les dictées recueillies par les gendarmes vont lui être soumises et après analyse le même nom ressort: Bernard Laroche. Au cours de ses analyses, un nouvel indice est découvert par Mme Berichon-Seyden. Sur la lettre de revendication, elle constate la présence nette d'une empreinte de signature, ce qu'on appelle un foulage.
Le document est alors confié à Denis Klein, un gendarme spécialisé dans les expertises d'écriture. Pour faire apparaitre les sillons imprimés dans le papier, il promène un faisceau lumineux sur la lettre et distingue nettement les lettres L et B. Par ailleurs en superposant ce foulage sur la véritable signature de Bernard Laroche, ça colle parfaitement.
Dès le lendemain Bernard et Marie-Ange Laroche sont placés en garde à vue mais, en l'absence d'aveu, ils sont relachés au bout de 24 heures. Malgré tout les gendarmes s'accrochent à cette piste et s'intéressent à l'emploi du temps de Bernard Laroche au moment du meurtre.
Son épouse et sa belle-soeur Murielle Bolle affirment qu'il se trouvait à Aumontzey à 17 heures 20. Cependant les détails ne collent pas et soudain Murielle craque et avoue qu'elle est rentrée du collège avec Bernard Laroche et qu'ils sont directement partis à Lépanges. Là-bas elle explique aux gendarmes qu'elle a vu Bernard Laroche enlever le petit Grégory.
Tandis que l'adolescente s'occupait de Sébastien, le fils de Bernard, dans la voiture, son beau-frère serait sorti avec Gregory et serait revenu quelques minutes plus tard sans lui. Compte tenu de la gravité de ses déclarations, Murielle Bolle est placée en garde à vue et le procureur demande au juge Lambert de venir auditionner lui-même la jeune fille.
Or la scène se passe en fin de semaine et le juge préfère remettre cette audition au lundi suivant. Remise en liberté, Murielle Bolle passe le week-end en famille. Le lundi 5 novembre 1984, elle répète son histoire dans le bureau du juge qui décide aussitôt de procéder à l'arrestation de Bernard Laroche. L'homme, vêtu d'un bleu de travail, est interpellé par les gendarmes à son usine devant une nuée de journalistes.
A l'époque la présomption d'innocence n'existe pas et les journaux font tous leur une avec "l'assassin Laroche". Les journalistes trouvent même le mobile. Les Laroche sont jaloux de la réussite des Villemin.
Le soir-même le juge Lambert annonce lui-même devant les caméras, un sourire aux lèvres, l'inculpation de Laroche pour assassinat. Le lendemain alors que la presse s'apprête à quitte Lépanges, pensant l'affaire résolue, la famille de Murielle Bolle lui demande de passer chez elle. Devant les micros et les caméras l'adolescente revient sur ses déclarations et explique que ses aveux ont été dirigés par les gendarmes. Elle nie être montée en voiture avec Laroche et clame l'innocence de son beau-frère.
Pour les gendarmes le juge a fait une erreur en laissant Murielle rentrer dans sa famille. Selon eux elle a subi des pressions pour changer sa version des faits. Cependant d'autres témoignages viennent corroborer la déclaration initiale de la jeune fille. Le chauffeur du bus scolaire ainsi que ses camarades de classe affirment qu'elle n'est pas rentrée chez elle le soir du meurtre. Le juge organise alors une confrontation entre Bernard Laroche et Murielle Bolle.
Murielle maintient qu'elle n'était pas avec Bernard ce soir-là. Les charges pesant contre lui demeurent alors bien minces.
C'est alors que le témoignage de trois collègues de travail de Christine Villemin va peu à peu semer le doute. Les trois femmes racontent que le 16 octobre vers 17 heures elles ont vu Christine poster un courrier dans la boite aux lettres de la poste de Lépanges. Or c'est précisément à cet endroit et à cette heure que le corbeau a posté sa lettre de revendication.
Entendue à ce sujet, la mère de Grégory répond que ses collègues se trompent de jour. Elle a bien posté un courrier vers 17 heures mais c'était la veille. Après enquête la lettre a été retrouvée par les gendarmes. De plus les trois femmes se trompent sur la tenue vestimentaire de leur collègue. Ce témoignage des "filles de la poste" n'est pas pris au sérieux par les enquêteurs contrairement au juge Lambert qui organise une confrontation. Mais chacune des parties campe sur ses positions.
Malgré tout les soupçons du juge Lambert et de la presse se tournent peu à peu vers Christine Villemin. Il est vrai que l'histoire de la "mère coupable" se vend mieux que la jalousie d'un cousin. Les gendarmes sont alors montrés du doigt. On leur reproche de na pas avoir perquisitionné la maison des Villemin le soir du drame. Pour sa défense le capitaine de gendarmerie Sesmat explique qu'il n'y avait aucune raison de faire cette perquisition chez les parents de la victime.
Les gendarmes et le juge Lambert ont maintenant des convictions divergentes et n'ont plus aucun échange. Le juge ne s'intéresse plus au cas de Bernard Laroche qu'il maintient pourtant en détention. D'ailleurs les charges pesant contre lui s'évaporent les unes après les autres.
Il y a d'abord les rétractations de Murielle Bolle, puis les expertises en écriture qui sont retirées du dossier en raison du non-respect de la procédure de la part du juge d'instruction. Enfin l'expertise du gendarme de la section de recherche de Reims qui avait mis à jour la présence d'une empreinte de signature portant les initiales "LB" sur une lettre du corbeau est tout simplement perdue. Pour couronner le tout, la lettre de revendication a été rendue quasiment illisible par les gendarmes en la recouvrant de poudre noire dans le but de découvrir des empreintes digitales. En résumé le dossier de Bernard Laroche est désormais vide.
Le dossier de Christine Villemin n'est guère plus étoffé et le juge Lambert va alors nommer un nouvel expert en écriture. Ses conclusions vont à l'encontre des premières expertises et disculpent Bernard Laroche. De ce fait le juge décide, contre l'avis du procureur, de le libérer le 4 février 1985. Mais celui-ci n'en demeure pas moins inculpé d'assassinat.
Dès le lendemain Gérard Wetzer, l'avocat des Laroche, invite une équipe de télévision à filmer les retrouvailles entre son client et sa famille après trois mois d'incarcération. Cette mise en scène a pour but de casser l'image d'assassin que peut avoir Laroche auprès du public. Mais tandis que l'atmosphère dans la vallée est détestable et qu'il est même menacé de mort, il décide tout de même de revenir chez lui. Son retour au travail est largement médiatisé et l'homme est peu à peu réhabilité.
Mais ce retour quasi-triomphal de Laroche rend les époux Villemin fous de rage, d'autant plus que les soupçons se portent maintenant vers Christine. Jean-Marie Villemin, dans une interview télévisée ne cache d'ailleurs pas qu'il a la conviction que la justice a libéré l'assassin de son fils. Cet avis est d'ailleurs partagé par certains journalistes et même par les gendarmes qui rendent régulièrement visite aux parents de Grégory. Sans le vouloir ils attisent la haine que ressent Jean-Marie envers son cousin.
Le 25 février 1985, Jean Ker, journaliste à Paris-Match particulièrement proche du couple, leur fait écouter sur une cassette, l'audition de Murielle Bolle accusant son beau-frère. Après trois heures d'écoute particulièrement éprouvantes, Jean-Marie se lève, prend un fusil à pompe et en le montrant au journaliste lui dit: "je vais buter Laroche".
Tentant de le raisonner, Jean Ker obtient de Jean-Marie la promesse qu'ils ne feront rien cette nuit. Rassuré il rentre alors à son hôtel. Mais pris d'un doute dans la nuit il se lève vers 4 heures du matin et se rend au domicile des Villemin où il se rend compte que leur voiture n'est plus là. Immédiatement il fonce vers le village où réside Bernard Laroche. Arrivé sur place il voit Jean-Marie Villemin agenouillé contre le monument aux morts pointant son fusil en direction de la maison des Laroche tandis que Christine l'attend dans la voiture. Leur cousin ne va pas tarder à rentrer de l'usine et ils ont l'intention de l'abattre à son retour.
Jean Ker se précipite alors devant la voiture et les supplie de ne pas faire "cette connerie". Après quelques minutes de discussion Jean-Marie renonce finalement à sa sinistre besogne. Désormais Laroche est au courant qu'il est menacé par son cousin, Jean Ker ayant relaté cette folle nuit dans les pages de Paris Match.
Quelques jours plus tard l'avocat des Laroche prévient par courrier le procureur de la République des menaces encourues par son client. Mais malgré cette intervention, aucune mesure de sécurité n'est prise par le préfet.
Au même moment, le juge Lambert désaisit le gendarmerie de l'enquête pour la confier à la police judiciaire. L'enquête redémarre pour ainsi dire à zéro et les policiers orientent immédiatement leurs soupçons vers la mère de Grégory. Pour mettre la pression sur elle et préparer l'opinion à son éventuelle arrestation, le commissaire qui dirige l'enquête utilise une de ses relations dans la presse. Il s'agit d'un journaliste travaillant pour huit médias influents en France dont la radio RTL. C'est d'ailleurs sur ses ondes qu'il va annoncer le 24 mars 1985 que des experts en écriture ont identifié l'écriture de Christine Villemin comme étant celle du corbeau.
Les Villemin apprennent la nouvelle en voiture alors qu'ils rentrent d'un dimanche en famille. Le choc est tel que Christine, alors enceinte, est prise de saignements et doit être hospitalisée.
C'est sur son lit d'hôpital qu'elle apprend, de la bouche du juge Lambert que c'est son écriture qui présente "le moins de discordances" avec celle du corbeau. Voyant sa femme hospitalisée et accusée du pire des crimes, Jean-Marie est à bout. Et ce qui devait arriver, arrive.
Le 29 mars 1985, Bernard Laroche rentre du travail en compagnie de son épouse aux alentours de 13 heures. Alors qu'il rentre sa voiture au garage, Jean-Marie Villemin surgit, une arme braquée vers son cousin. Le dialogue entre les deux hommes est court et tendu. Jean-Marie tire sur Bernard Laroche qui s'écroule mortellement touché à la poitrine.
Avant d'aller se livrer à la police, Jean-Marie Villemin se rend à la clinique et annonce la terrible nouvelle à Christine. Désormais, la jeune femme devra affronter seule l'acharnement de la presse et de la justice contre elle. Mais Christine Villemin ne craque pas et ne fait aucun aveu.
En outre aucun élément matériel incontestable n'apparait dans le dossier du juge qui ne peut, pour l'instant arrêter la mère de Grégory. Mais début juillet 1985, une nouvelle expertise la désigne encore comme étant le corbeau. Puis une cordelette identique à celle ayant servi à ligoter Gregory est retrouvée dans le garage des Villemin. Pourtant ceux-ci n'y vivent plus depuis des mois et il y a eu de nombreux passages dans la maison. Malgré la faiblesse des éléments à charge Christine Villemin est finalement inculpée par le juge Lambert le 5 juillet 1985 et placée en détention.
Dans sa cellule, Christine Villemin entame une grève de la fin de cinq jours alors qu'elle est enceinte de 6 mois. Jean-Marie l'imite à son tour. Pour le juge Lambert il n'existe qu'un seul mobile pour qu'elle ait ainsi tué son enfant: la folie. Il la fait donc examiner par plusieurs psychiatres mais rien ne ressort dans leurs conclusions.
A Lépanges, quelques journalistes convaincus de l'innocence de la mère de Grégory tentent de démontrer qu'il lui était matériellement impossible de tuer son fils et de poster la lettre de revendication dans le labs de temps établi par l'enquête. Chronomètre en main ils refont le parcours entre Docelles et Lépanges et en concluent que Christine Villemin ne peut pas être l'auteur de ce crime. Mais en dépit des contre-enquêtes de quelques journalistes, la majorité de la presse et la justice croient toujours en sa culpabilité.
Le journal Libération va même jusqu'à envoyer la romancière Marguerites Duras dans les Vosges pour qu'elle écrive ses impressions sur l'affaire. Son article qui fait de Christine Villemin une coupable fait scandale. Malgré la folie qui s'empare de la presse, le procureur d'Epinal considère toujours que rien ne justifie la détention de Christine Villemin. Et onze jours après son incarcération, elle est remise en liberté par la cour d'appel de Nancy.
Libre, Christine Villemin se réfugie dans sa famille en Alsace. De son côté Me Garaut négocie avec Paris-Match l'exclusivité des photos du futur bébé des Villemin en échange de 250000 F. Ce contrat servira à payer ses honoraires et à redonner une bonne image de sa cliente.
A la mi-octobre 1985, elle apparait radieuse à la une de l'hebdomadaire, avec Julien, son bébé, dans les bras. Mais ce reportage n'a pas l'effet escompté, bien au contraire. L'opinion publique ne comprend pas comment la mère d'un enfant assassiné puisse apparaitre tout sourire dans un magazine "people". Pour couronner le tout, Marie-Ange Laroche, fait, quelques semaines plus tard, la une de Paris-Match après son accouchement du fils de Bernard Laroche. Le contraste est saisissant. Ici point de sourire. Le titre est: "La mère en noir".
Malgré tout les avocats de Christine Villemin persistent dans leur stratégie en négociant de nouveaux reportages. L'effet est désastreux. Pour l'opinion, elle ne fait qu'utiliser son malheur pour gagner de l'argent. En plus elle publie un livre dans lequel elle clame son innocence qui est très mal accueilli par la presse.
Pourtant les Villemin ont cruellement besoin d'argent pour payer les honoraires de leurs avocats et les dommages et intérêts au bénéfice de la famille Laroche. Au total leurs dépenses s'élèveront à plus d'1,8 millions de francs.
A suivre...
Pour en savoir plus: http://gregoryvillemin.free.fr
Pour ceux qui ont l'intime conviction que Christine est l'assassin de son fils, Je respecte votre "choix" d'intuition. Mais enfin...si vous assassiniez votre enfant, auriez le culot et la maladresse de demander la réouverture de votre propre condamnation à chaque fois que ce présente l'occasion ?? Vous appuiriez sur le couperet de votre propre guillotine..?? C'est une nouvelle règle de Justice d'aujourd'hui...?? Maintenant les assassins se livrent d'eux mêmes..??!! Quelle bonne nouvelle...Dans quelques temps la justice n'existera plus. Il y aura juste des prisons...ouvertes puisque les assassins iront d'eux mêmes !
Allons donc...!! Je crois qu'il faut que vous rétablissiez la pesanteur dans laquelle vous vous trouvez pour retrouver au moins un pied sur terre...
De plus...
Ce meurtre s'il a été prémédité par Christine, aurait-elle "oublié" son alibi le jour du crime...?
Je vous rappelle qu'elle n'en a pas...ou du moins, pas très solide...Alors ? Un meurtre de cet envergure se "réfléchit", se "dissèque", se "comprends" et enfin se "murit"...pour enfin accomplir l'acte criminel !
Et là, après maint et maint mois de réflexion, la ou les, meurtriers ne pensent pas le moins du monde à un alibi...??!!
C'est la blague de l'année ??
Rédigé par : Claude | 14 décembre 2008 à 15:13
Bonjour,
Je me souviens avoir surfé il y a quelques mois sur un site dedié a cette triste affaire, site très complet offrant de nombreux documents ecrits et sonores (du/des corbeau(x) essentiellement). Je ne retrouve plus ce site...Peut etre que ma description de ce site "parlera' a quelqu'un qui me donnera l'adresse ?
Merci d'avance.
Rédigé par : ptvn | 13 décembre 2008 à 20:36
Pour répondre à Bill "qui s'en tape 24 ans après" j'aimerais bien savoir si tu t'en taperais autant si le petit Grégory était ton fils! Pour le meurtre, surtout celui d'un enfant, il ne devrait jamais y avoir prescription, parce que, rassuré sur son infaillibilité, le meurtrier peut en tuer d'autres. J'ose espèrer qu'avec les nouvelles techonologies scientifiques, on pourra attrapper ce monstre!
Rédigé par : Mme DURINDEL | 11 décembre 2008 à 01:22
ah! oui on s'en tape apres 24 ans?
dites vous bien que 24 ans apres les parents de gregory ,eux ne s'en tapent pas!
et les ou l'assassin non plus ne doivent pas etre de cet avis,les complices de cet affreuse affaire ,non plus!
on va trouver,car si on autorisé la reouverture du dossier ,c'est qu'en meme temps on va traiter d'autres données que l'adn.
c'est une opportunité formidable et il y aura des resultats,à n'en pas douter.
quand on fait l'effort de se recentrer sur les elements connus de l'affaire,les appels telephoniques les menaces ,les entourloupes de toutes sortes imaginées et exercées par les auteurs du crimes ,on peut cibler et comprendre qui sont les affreux personnages qui ont commis l'horrible meurtre.
en tous cas ,moi je sais mettre un nom sur eux et j'ai parfaitement compris leur manege!
si j'ai reussi à le faire ,c'est que tout est dans le dossier et que d'autres ont reussi à resoudre l'enigme!il suffisait d'obtenir la reouverture et le tour est joué!
accrochez vous à votre fauteuil,les coupables ,vous allez passer un sale quart d'heure!
et les faux temoins,vous allez peut etre pouvoir passer quelques vacances au chaud dans les prisons de france et de navarre.
Rédigé par : yoshikawa | 06 décembre 2008 à 21:02
Serieux on s'en tape, 24 ans après...
Rédigé par : Bill | 05 décembre 2008 à 23:07
peut etre qu'on pourrait ésperer de savoir quelquechose avec les nouveaux test ADN mais je pense qu'il faut pas rever...si c'esr le cas je pense qu'on aurra des surprise...
Rédigé par : MOUMOUTTE | 24 octobre 2008 à 14:03
Je me souviens trés bien de cette affaire et déjà à l'époque je trouvais ça horrible!!!!
Comment peut-on avoir autant de cruauté pour prendre la vie d'ube petit ange!!!!!
Je pense aussi à la douleur des parents et aux dérapages qui ont suivis.
J'espère q"un jour un saura qui à fait ça ou alors que certaines personnes parleront.
Comment peut-on vivre comme si de rien était ?
Rédigé par : Lysette | 19 octobre 2008 à 09:50
il y a quand meme de sérieuses attaques du corbeau envers monique villemein relatives à un enfant dit batard!
il y a aussi la phrase prononcée au téléphone"je t'ai mise enceinte et c'est l'autre qui l'a recupéré!c'est assez explicite hélas!reste à faire le rapprochement avec l'assassin présumé du moment,BL.
quel sont les liens avec le corbeau,et il faut chercher à qui profite le crime.
dans ce cas on est face à une veritable vengeance personnelle qui inclue des vielles histoires et de la jalousie plus qu'exacerbée.
le désir de faire souffrir est net.car si l'assassin avait voulu se venger,pourquoi n'aurait il pas eliminer la personne concernée directement?
non ,l'assassin voulait torturer et obtenir ainsi une jouissance à voir de ses propres yeux le mal qu'il avait reussi à faire.il y a de la perversion dans cette affaire!
Rédigé par : yoshikawwa | 23 septembre 2008 à 10:33
l'amant de m villemin? perso j'y crois pas trop...les alibis des uns et des autres furent vérifiées; seul celui de bl ne tient pas; par contre , votre raisonnement sur le timing de bl est pertinent; effectivement mb parle d'un temps assez court ; peut etre un peu juste pour ficeler gv ....c'est effectivement un problème d'autant qu'il est vu chez champion et au pmu peu après
Rédigé par : yh | 22 septembre 2008 à 20:26
@Yoshikawwa
Merci pour vos encouragements. Je me suis juré de ne pas mourir sans au moins avoir contribué à la vérité...
Et je m'y attache fortement...
Rédigé par : Claude | 21 septembre 2008 à 09:02
les premières lettres ou appels téléphoniques ont ete transmis semblent il à albert et monique villemin.
ils se sont étendus à leur famille.
l'accélération de ces messages violents ,intempestifs,dérangeants,est intervenu ,quand,suite à une promotion interne,jean marie villemin a ete nommé "chef",ce qui semble avoir levé un vent de jalousie folle et furieuse.
jean marie etait par cette promotion,considéré,semble t-il comme étant le fils prodige,alors que ses frères etaient peut etre moins mis en valeur.
les parents villemin ,s'ennorgueillissait peut etre de cette réussite ,au point que maladroitement ils donnaient à leurs autres enfants la sensation d'etre moins importants pour eux.
ce qui a attisé les jalousies et les rancoeurs.
d'autre part ,il semble que toute cette affaire soit lié à monique villemin,la mère de jean marie,qui aurait eu une aventure sentimentale et sexuelle avec un homme qui se réclame comme étant le père d'un des frères de jean marie voir de deux. jacky? michel?le 1er et le 2eme batard comme ils les citent dans ses courriers.
l'homme délaissé semble t-il,frustré de constater que l'enfant dont il serait le père est traité beaucoup moins bien que jean marie,en fait le reproche à monique:ne dit il pas:"j'arretlà,parce que ça sert à rien ,ils sont toujours pas mieux traités,ou considérés!"cette affaire est lié à la liaison de monique avec cet homme qui a mainteneant un certain age.sa rancoeur est telle qu'il veut faire payer,la famille de monique.et surtout jean marie qui est le caid!une famille heureuse,un enfant adorable ,une épouse jolie et tendre,une maison neuve,agrandie,bien meublée et proprète:il n'en faut pas plus à un homme aussi rustre,qu'un malheureux salon en cuir fait rever!
mais ce n'est pas si simple:l'homme s'exprime et sa famille écoute et peu à peu les idées germent.pourquoi ne pas les faire tourner en bourrique et les inquiter jour et nuit pour qu'ils prennent peur?
il faut leur faire payer ce qu'il a enduré,et il n'en démort pas.
les lettres en foulage L B ne correspondrait elles pas à Lucien Bolle,père de marie ange laroche et beau père de bernard laroche
de là à imaginer que ces derniers aient pu jouer un role important dans ce drame ,il ny a qu'un pas.
dans ce village d'aumontzay,il doit y avoir bien des gens qui savent et qui se taisent:
or toute personne qui dissimule,est malgré elle un complice!
une affaire sordide de rivalité fmiliale a conduit à la mort d'un petit innocent,qui représentait tant aux yeux de ses parents qu'il en est devenu la cible infaillible qui a permis au corbeau d'assouvir sa soif de vengeance.en pensant que monique villemin,sacralisait jean marie,et délaissait affectivement son fils à lui ,qu'il avait eu avec elle,et qu'elle avait fait éléver par un autre,le corbeau s'est senti frustré et au travers de cet assassinat ignoble a voulu faire souffrir cette famille;comprenant que le vrai trésor des villemin était grégory,il décida de le choisir pour mettre en place une vengeance qui jamais ne trouverait de fin!
le corbeau est multiple mais à la base c'est l'histoire de cet homme qui est le moteur.
persuasif,il a reussi à convaincre des gens de son entourage à agir.
Rédigé par : yoshikawwa | 19 septembre 2008 à 00:22
l'écriture baton est caracterisée par des formes géométriques:le o est carré ect..!
cette écriture peut etre volontairement carrée pour etre moins reconnaissable:celà voudrait dire que l'ecriture du corbeau pouvait etre reconnue des parents de grégory,peut etre de jean marie (un collègue de travail)
d'autre part le code postal écrit entre parenthèse et placé après le nom de la ville,pourrait signifier que l'auteur de l'adresse est une personne assez agée qui a gardé l'habitude des anciennes adresses,avec le nom de la ville suivie du département entre parenthèse.
deux personnes pourraient avoir conjugué leur action:l'écriture script est une écriture traduisant de la maladresse:la personne ecrit peu et n'a certainement pas une grande expérience scolaire.
par contre la signature de bernard laroche montre une écriture plus souple.
les lettres apparaissant en foulage pourraient s'adapter à la signature de bernard laroche,mais ne pourrait elle correspondre à un autre nom:le B pourrait aussi vouloir dire bolle!
bernard laroche aurait pu etre celui qui a enlevé l'enfant,et l'a livré à quelqu'un,un complice qui l'a peut etre trompé en lui faisant croire qu'il voulait foutre une bonne frousse au "chef"!
mais une fois l'enfant dans ses mains il a mis à exécution son forfait
laroche ,pris au piège ne pouvait plus que se taire.
car si on en croit ce que dit murielle,sa belle soeur,il est descendu avec l'enfant et est revenu quelques minutes plus tard:elle ne semblait pas parler d'un long moment d'absence; donc pour s'occuper de ficeler l'enfant après l'avoir peut etre endormi,puis le déposer dans l'eau,il lui aurait fallu un certain temps.il aurait aussi ete mouillé ;murielle ne donne pas ce détail semble t-il.
un complice avait le temps de s'occuper de celà.
et puis la voiture verte de laroche,en restant stationnée trop longtemps,à docelle aurait pu etre remarquée.
la lettre annonçant le crime a très bien pu etre déposée à la poste par un complice qui savait que l'enfant etait bien dans la voiture de laroche,juste après l'enlèvement.
murielle bolle ,en révélant ce qui s'était passé dans la journée,a bel et bien dit la verité!mais ,les menaces qu'elle a subies par la suite ont eu raison de sa franchise.
si ,aujourd'hui cette femme acceptait de dire la vérité,elle permettrait sans doute ,non seulement de faire connaitre le véritable instigateur de cet atroce assassinat,mais aussi peur etre de mettre en évidence que son beau frère a pu etre trompé par l'ignoble individu qui n'a cherché qu'à faire souffrir atrocement les parents de grégory. c'est une jalousie énorme qui est à l'origine d'un tel drame et l'on peut penser que celui qui a commis la chose jalousait professionellement et personnellement jean marie,car il considérait que celui ci etait plus verni que lui.
c'est sans nul doute un proche,qui connaissait bien les habitudes de vie de ces gens,et qui mourrait d'envie de les faire souffrir,ne supportant pas leur bonheur!
nul doute que justice a ete faite en partie;reste à trouver le complice. l'etude des voix devrait pouvoir apporter une réponse:un fort accent vosgien teinté d'alsacien s'entend dans les messages telephonés.peut etre une voix de femme qui fume beaucoup!
je voulais dire à Claude que je comprends parfaitement sa démarche acharnée pour résoudre cette énigme.j'ai moi meme un combat à mener sur une autre affaire ,qui n'a toujours pas trouvé une issue.
noble est ton combat et ta pugnacité,claude;
je suis ravie de constater que certaines personnes sont capables d'autant d'abnégations et celà,au delà de toute prise d'interet.
Rédigé par : yoshikawwa | 10 septembre 2008 à 22:34
Tout le monde connait les deux complices (un homme et une femme)qui ont commis l'irreparable.
Le problème c'est qu'il y a plusieurs corbeaux (6-7-8 personnes).
Beaucoup de gens se sont acharnés contre les villemin.
Rédigé par : jamou | 05 septembre 2008 à 18:39
bonjour a tous,
je suis nouvelle parmis vous et je suis bien contente de pouvoir enfin discuter de l'affaire grégory qui me passionne vraiment; j'ai pris le temps de lire vos commentaire qui sont très interressants !! bon j'avoue que certain laisse vraiment a desirer mais bon cette affaire est sérieuse c'est quand meme un enfant qui a payer ....
en ce qui me concerne, j'ai lu tous les bouquins de l'affaire GREGORY mais une conclusion est difficile a poser que d'embrouille cette affaire! je pense surtout que c'est un gachis judiciaire l'enquète n'a pas été dirigée comme il le fallait dés le début...manque de compétence le petit juge....
je pense qu'une personne sait vraiment ce qui s'est passé et on sait tous qui c'est....
en tout cas si l'assassin de ce petit garçon est encore en vie je le plaint car vivre avec cette mort sur la conscience faut vraiment pas etre humain......
on va peut etre en savoir plus dans quelque mois avec l'ADN je le souhaite vraiment ce petit garçon merite de reposer en paix.....
a bientot..
Rédigé par : MOUMOUTTE | 20 août 2008 à 22:13
Vous vous êtes trompé de personne Monsieur Claude94!
Votre "passion" est troublante! Et elle fait peur!
Je ne me rends même pas compte que l'affaire me passionne???? Si vous saviez très cher!
Rédigé par : Fleurauvent | 13 juillet 2008 à 20:26
@BEH
Qui vous dit que je ne connais pas la famille ? Et qui pourrait m'empêcher de vivre pour quelque chose dont je suis passionné...? Et ais-je dit que c'était grâce à moi que le dossier a été réouvert ? Certainement pas....C'est d'une évidence...!!
Bien sur que c'est grâce aux parents et fort heureusement d'ailleurs...!
Chacun fait ce qui lui plaît...Nous sommes sur une terre libre !
Et rien que le fait d'avoir répondu 2 paragraphes à cet article, c'est que cette affaire vous passionne aussi.
Vous ne vous en rendez même pas compte...
Rédigé par : Claude94 | 12 juillet 2008 à 18:19
Je suis heureuse que cette affaire soit rouverte. Petit Gregory, on va peut-être enfin découvrir qui t'a fait ça et le punir comme il le mérite.
Anne-Marie BEH
Rédigé par : BEH | 10 juillet 2008 à 22:02
Claude94 vous dites ceci: ""L'acharnement de ceux qui n'ont jamais laissé tomber l'affaire va être récompensé...! Le parquet de Dijon a enfin écouté nos plaintes...!!""... Croyez-vous réellement que votre site y est pour quelque chose dans la réouverture du dossier??? Je ne crois pas! La demande a été faite par la famille et vous n'en faites point partie. Je vous rassure, le couple Villemin est bien plus "acharné" que qui que ce soit, à découvrir LA vérité!
Je trouve malsain cette obssession que vous avez concernant le meurtre de Grégory. Qu'on s'intéresse à l'affaire je veux bien! Mais y consacré sa vie, alors que vous ne connaissez aucun des membres de la famille (si ce n'est qu'à travers les journaux et autres magazines à scandales) excusez-moi, mais là j'ai du mal!
Rédigé par : Fleurauvent | 10 juillet 2008 à 01:31
Voici une nouvelle absolument extraordinaire :
La trés certaine réouverture du dossier se fera en automne prochain...! L'acharnement de ceux qui n'ont jamais laissé tomber l'affaire va être récompensé...! Le parquet de Dijon a enfin écouté nos plaintes...!!
Rédigé par : Claude94 | 10 juillet 2008 à 00:32
cela fait quelques années que je suis cette affaire et j'ai passé toute ma journée sur différents sites dont celui de claude thines je voudrais savoir si quelqu'un peut encore me renseigner (claude?) j'ai msn n'y voyez aucune curiosité malsaine, mais comme tout le monde je me suis faite mon idée et le fait que vous disiez que des gens cachent encore des choses me font encore plus m'interesser.
merci et courage courage à toute la famille
solene
Rédigé par : solene | 23 mai 2008 à 20:26
@Chris
Pourriez-vous me donner votre adresse mail ? J'aurais, si vous me le permettez, quelques questions à vous poser...
Merci...
Rédigé par : Claude | 19 avril 2008 à 10:34
j'ai personnellement connu Gregory, j'ai meme jouer avec lui.concernant Muriel Bolle, elle connait la verité, mais elle ne veut pas la dire par peur de represailles...je tiens ca de sources sure
Rédigé par : chris | 17 avril 2008 à 09:05
Cela fait 24 ans que j'étudie et que j'analyse l'affaire Grégory...Je passe mes nuits à réfléchir et à démêler cette affaire remplie de véritables noeuds juridiques...
Tous les détracteurs qui accusent Christine Villemin doivent réfléchir à une chose :
Si Christine était l'investigatrice du meurtre de son fils, croyez-vous, qu'au bout de 3 ans à avoir harcelé tout le monde au téléphone, qu'elle se serait passé d'alibi solide concernant les 20 minutes de l'enlèvement...?? Il ne faut pas sortir de l'ENA pour penser à l'affirmatif...!! Ce meurtre s'il a été prémédité par Christine, comme veulent le faire croire si bien Jean-Michel Bezzina, journaliste décédé en 2001 (pour ceux qui s'interrogent dans un message un peu plus haut sur la mort de cet homme), Jacques Corazzi, commissaire véreux, et le juge Lambert, avec ses multiples fiascos de son dossier, aurait-elle "omis" son alibi le jour du crime...?
Soyons raisonnables...
Il est clair que Laroche a participé à l'enlèvement, pas au meurtre ; comme l'a dit le Procureur Général Ruyssen lors du procès de Jean-Marie Villemin : "Il existe de très lourdes charges sur Bernard Laroche quant à sa participation à l'enlèvement de Grégory"...Un point, c'est tout...!
Voici ce qui "pèse" contre Bernard Laroche entre suspicion et jalousie et pourquoi Jean-Marie est devenu un assassin :
1) Bien entendu, les accusations de Murielle, stipulant des détails croustillants quant au profil du pavillon et du centre de Lépanges (route barrée). Et j'en passe...
2) La lettre avec des exemples d'insultes que l'on a retrouvée chez Laroche avec ces mentions "...pauvres ... que vous êtes tous..."
3) La cassette que l'on a également retrouvée chez Laroche avec "Chef on a soif..." (appel anonyme)
4) La longue-vue que possédait Laroche pour surveiller les époux Albert et Monique Villemin.
5) Les contradictions de son ami Zonca.
6) Laroche savait ou croyait qu'Albert Villemin soutirait de l'argent à son propre père.
7) Laroche en voulait fortement aux Villemin de vouloir mettre Louisette et Chantal, sa fille, dans un asile...
8) Il n'y a jamais eu d'ordre d'arrivée chez Louisette entre Bernard Laroche et Murielle Bolle le soir du 16 octobre à 17h20-25. En admettant que Murielle ait menti quant à l'enlèvement de Grégory, même sur ce détail ils n'étaient pas d'accord...Un fait troublant qui n'a jamais été élucidé...
9) La pression de certains gendarmes et journalistes (Ker entre autres) envers Jean-Marie ("si on avait fait ça à mon fils je saurais quoi faire" )
10) Les mystifications et falsifications de preuves de Corazzi (porte bien son nom corse celui-là !)
11) La même marque d'insuline retrouvé chez Jeanine Bolle et celle que Monsieur Grandjean, garde-champêtre, découvrit près du Barba.
12) Sonia Pierson, Claude Richard...Témoins ayant vu Murielle monter dans la voiture de Laroche à 17h à la sortie du lycée.
13) Jean-Michel Galmiche, chauffeur du car scolaire, témoin de l'absence de Murielle dans ce même car.
14) Bien sur, Claude Colin et Claudon ayant vu une voiture verte avec, à son volant et côté passager, un homme corpulent à moustaches et une jeune femme rousse.
15) Les experts graphologues ayant accusé formellement Laroche dès les premières investigations.
16) La forte complicité entre Laroche et Michel Villemin. Ce dernier étant l'informateur du premier.
17) Les "essais" de séduction de Laroche envers Christine, Liliane et Ginette. Econduit, Laroche s'en fut bien honteux...
18) La légère infirmité du fils Laroche alors que Grégory était en pleine santé.
19) L'achat du salon de cuir et le prêt pour agrandir le garage.
20) La visite de Michel et Ginette deux jours avant l'assassinat.
21) Le deuxième portrait-robot ressemblant étrangement à Laroche.
22) Les errances et fautes absolument grotesques et digne d'un débutant du juge Lambert.
23) Le foulage avec les lettres L et B qu'a découvert le gendarme Klein...
24) Le fait que Murielle savait faire les piqûres (déclarations de l'infirmière et de sa propre mère)
25) La mère de Murielle était persuadée que Laroche avait participé à l'enlèvement.
26) Toujours Jeanine Bolle, la mère de Murielle et Marie-Ange, qui disait avoir fait des pressions sur sa fille la veille de ses rétractations. (déclarations faîtes auprès de l'infirmière quelques temps avant sa mort)
27) Le fait que Marie-Ange Laroche, le lendemain du meurtre de Grégory, va à une cabine téléphonique pour téléphoner aux gendarmes, alors qu'elle a le téléphone chez elle...
28) L'engouement de cette même Marie-Ange, au départ de l'enquête et au cours du coup de fil mentionné ci-dessus, à vouloir faire accuser quelqu'un d'autre (les Hollard)
Etc etc...
Maintenant les cerveaux les plus fantasques trouveront eux-mêmes son ou ses complices...
Je vous rappelle que Christine Villemin a bénéficié d'un non-lieu pour "absence totale charge", fait unique dans les annales de la justice française...!
Je mettrai en ligne prochainement ce que j'ai écris sur l'affaire Grégory. J'attends l'accord de la famille Villemin...
Une chose est sûre : Il faut que Grégory soit laver de cette eau qui l'a sali...avant 2011...!!
Que la vérité lui soit rendue...sa vérité...!
Rédigé par : Claude | 31 mars 2008 à 15:08
j'habite les vosges.
Murielle bolle est mariée et habite maintenant à etival (à une quarantaine de km de lépanges et aumontzey). Elle est la clé de l'énigme, du moins ce qu'il en reste, cette affaire serait résolue depuis bien longtemps si elle aurait eu lieu de nos jours.
Tout le monde connait tout le monde ds les vosges, il est facile de rencontrer des gens qui ont connu des protagonistes de l'affaire, voir meme les protagonistes eux memes... Il semblerait qu'il y ait peu de doute ds la culpabilité de bernard laroche. Plus intéressant, il semblerait qu'il y ait eu 2 corbeaux : un homme et une femme. Si l'homme est mort assassiné par JMV, la femme n'a jamais été inquiété... à rapprocher de la rétractation de Murielle Bolle...
(NB : j'habite à 20 mètres de la maison de robert pichon, une autre affaire dont on a pas mal entendu parlé ces derniers tps)
Rédigé par : Le Corbak | 30 mars 2008 à 16:22
j'habite les vosges.
Murielle bolle est mariée et habite maintenant à etival (à une quarantaine de km de lépanges et aumontzey). Elle est la clé de l'énigme, du moins ce qu'il en reste, cette affaire serait résolue depuis bien longtemps si elle aurait eu lieu de nos jours.
Tout le monde connait tout le monde ds les vosges, il est facile de rencontrer des gens qui ont connu des protagonistes de l'affaire, voir meme les protagonistes eux memes... Il semblerait qu'il y ait peu de doute ds la culpabilité de bernard laroche. Plus intéressant, il semblerait qu'il y ait eu 2 corbeaux : un homme et une femme. Si l'homme est mort assassiné par JMV, la femme n'a jamais été inquiété... à rapprocher de la rétractation de Murielle Bolle...
(NB : j'habite à 20 mètres de la maison de robert pichon, une autre affaire dont on a pas mal entendu parlé ces derniers tps)
Rédigé par : Le Corbak | 30 mars 2008 à 16:22
Bravo pour vos paroles Anna et votre dévouement!
Rédigé par : david | 26 mars 2008 à 07:08
@Anna
Le foulage est une des multiples "suspicions" de preuve contre Laroche et ses complices. De ce fait le Droit français se doit, avec ses nouveaux moyens, de réouvrir ce dossier...Je sais qu'il faut un élément "nouveau" pour la réouverture d'une affaire. Mais là, il s'agit de l'assassinat d'un enfant...!
Comme le dira le titre de mon site, visible quand j'aurai eu l'autorisation de la famille Villemin et d'un journaliste, "Le temps a un allié : La Mémoire..."
Personne n'a oublié...parce que personne ne veut oublier...! La justice nous doit la vérité...Cette affaire a ému les trois quarts des citoyens français et autres personnes hors frontière...
Je me battrais jusqu'au bout de mes forces pour connaître la vérité...Les magistrats ne peuvent laisser cette affaire se perdre dans les tiroirs et archives d'un tribunal quelconque. Trop de lacunes et diverses bourdes se sont déroulées pour que la justice ne soit pas "nettoyée" elle aussi, de la crasse dans laquelle elle s'est vautrée...!
Quitte à créer une association pour "Que la Vérité soit rendue à Grégory", je ne pourrais continuer à vivre en sachant qu'un assassin et ses complices jouissent d'une liberté dans toute l'impunité totale...!!
Rédigé par : claude | 19 mars 2008 à 20:15
Je voudrais souligner le fait que l'on a retrouve les lettres LB avec le systeme du foulage. Pour moi c'est une preuve que c'est Bernard Laroche qui l'a tue. Pourquoi ces initiales apparaitraient sur le papier d'une autre personne? A moins que cette personne est un lien avec Bernard Laroche et qu'elle lui a ecrit une lettre par le passe. Le corbeau ne connaissait pas ce systeme, Bernard Laroche ou peut-etre Michel qui etait peut-etre son complice ont pu tue Gregory.
PS: J'ai un fils de 4 ans et demi et je voudrais dire aux parents du petit que je les admire vraiment pour leur patience et leur courage face aux journalistes cupides et surtout face a un juge qui a fait tellement d'erreurs. Pourquoi n'est-il pas moleste car il a fait vraiment pietine l'enquete!!!!
Rédigé par : Anna | 19 mars 2008 à 15:38
@YH
L'insuline est absolument invisible dans une autopsie. Ce qui fera de ce produit un élément essentiel dans les crimes parfaits d'Agatha Christie...En effet l'immersion longue est scientifiquement impossible : le très peu d'eau retrouvé dans les poumons du petit garçon ainsi que dans l'estomac ne contenait aucune substance végétal et minéral que l'on trouve logiquement dans une rivière. Les experts n'excluent pas une immersion dans de l'eau de source. Je rajouterai APRES l'avoir injecté de ce produit cité plus haut. D'où la faible quantité d'eau. Malheureusement cette eau ne fut jamais analysé et ce, sous l'interdiction du juge Lambert. Encore une faute lourde (comme le dira le Président Ruyssen à l'égard du Juge Lambert...enfin juge...!!)
2) Ce détail sera mis à jour lors de la mise en ligne de mon site.
3) Non...L'injection de ce produit a un effet différent selon le "patient" auquel on l'injecte. L'effet peut survenir au bout de 20 minutes à une heure trente, selon la quantité que l'on injecte, la corpulence du "patient", son état corporel (malade ou pas) etc etc...et surtout de la référence de celle-ci...
4) La piqûre d'insuline n'a pas été faite à 17h30. Bien après...
5)Qui vous dis que cet appel a eu lieu...? J'aime à répéter que Michel a laissé Jean-Marie et les gendarmes chercher aux alentours du pavillon pendant près d'une heure...! Ce n'est qu'après qu'il a signalé que le corbeau lui avait dit "Je l'ai mis dans la Vologne"...S'il l'avait dit tout de suite les gendarmes, en suivant le courant, seraient très certainement "tombés" sur le l'assassin...Mais voilà...Il fallait attendre...!
Rédigé par : Claude | 15 mars 2008 à 02:01
claude,
soyons clair, je suis absolument convaincu de l'innocence de christine et scandalisé par l'attitude ignoble des corrazi,bezzina ,weltzer,prompt et consorts.
mais je crois qu'il ne faut pas tomber dans l'excès inverse et uniquement s'en tenir aux faits:
1) l'autopsie a été partielle ( pas d'analyse des viscères pour déterminer la présence d'insuline ou d'autres produits), les experts n'ont pas conclu à l'impossibilité de la noyade mais ont démontré la quasi impossibilité d'une immersion longue.
2) je ne pense pas que mb ait piqué gv à l'insuline ( ne l'a pas dit lors de ses aveux initiaux au capitaine sesmat)
3) quelqu'un d'autre a pu le faire mais sachez que l'administration de cette substance produit des effets de type coma sur un enfant de 4 ans en un laps de temps estimé à 1 h30.donc dans cette hypothèse, l'immersion de l'enfant se situe entre 19h00 et 21 hoo.or, michel reçoit l'appel à 17 h30 ( si cet appel a eu lieu)
4) si l'appel vers michel est inventé et si la piqure d'insuline a été pratiquée , pourquoi michel prend t'il ce risque à 17 h30 au risque d'etre découvert?
5) si l'appel n'est pas inventé et michel innocent du crime ( version qui retient ma faveur), pourquoi l'appel est passé si tôt alors que l'enfant est sans doute encore vivant?
Rédigé par : yh | 14 mars 2008 à 20:21
Il n'y a peut-être que des présomptions concernant l'insuline, mais il faut bien avouer que la découverte de cette boîte complète dans son intérieur est bien troublante...L'ouverture du sachet de la seringue est strictement la même que l'infièrmière injectant le produit sur Jeanine Bolle, la mère de Murielle...Cette boîte complète n'a pas été mise ici par hasard. Il se peut que l'on trouve une seringue seule, une ampoule seule, une boîte seule, mais l'attirail complet c'est extrêmement rare...!
De plus, l'enfant n'avait que très peu d'eau dans les poumons, ce qui ne correspond absolument pas à une noyade, mais à une hydrocution immédiate. Les yeux ouverts de l'enfant et son visage serein sont les signes évident qu'il est "entré" dans l'eau alors qu'il était inconscient...L'eau était à 12-14 degrés. Le froid a fait le reste. N'oubliez pas que personne, entre 17h30 et 21h15, n'a entendu de cris...! Si quelqu'un essaie de vous noyer, vous vous laissez faire..? Oui, tiens, j'vais m'laisser couler tout seul...!! Soyons logique une bonne fois pour toute...!
Et que les détracteurs qui croient que Christine est coupable, pensez à une chose : si c'est le cas, cela fait donc trois ans qu'elle rumine une vengeance quelconque. Qu'elle ne s'est jamais fait prendre étant le corbeau. Que le piège a été murement réfléchi...Et là, le 16 octobre 1984 entre 17h et 17h20 elle n'a pas d'alibi..Après ces années de réfléxion, elle oublie son alibi..??? Là aussi soyons logique...!
Rédigé par : Claude | 14 mars 2008 à 15:38
correction lina,
aucune preuve (adn ,témoins ,autopsie) n'indique à ce jour que grégory a été endormie avant d'être jeté à l'eau;
vous avez également tort quant vous affirmez " le juge simon a découvert que les seringues utilisées pour la mère de mb avaient servi à endormir grégory" ;rien n'indique cela dans le dossier.ont été retrouvés une seringue et un flacon d'insuline identique aux produits utilisés pour la mère de mb.nuance car aucune empreinte mais juste une hypothèse et une présomption.
Rédigé par : yh | 12 mars 2008 à 14:11
Il faut savoir que longtemps après l'enquete , un juge à la retraite a repris l'enquete depuis le debut.
Il etait sur une piste .Ce serait bien Laroche qui à tué le petit Gregory. Il a auditionnée des temoins "oubliés" et en a entendu d'autres.
Il a découvert que les seringues utilisés pour soigner le diabète de la mère de l'adolescente rouquine ont servi à endormir Gregory avant de la jeter à l'eau.
Malgré tant de labeur et si proche de ses conclusions, le juge meurt d'une crise cardiaque et l'affaire en reste la.
Courage aux parents du petit Greg.
Rédigé par : lina | 09 mars 2008 à 11:45
C'est le pere laroche qui a tué grégory à mon avis. La gendarmerie n'aurait pas du relacher l'adolescente dans sa famille après l'audition. Ils l'on forcé à revenir sur ses aveux.
Que des erreurs de la part des autorités!
Tout le monde en sort brisé.
Rédigé par : lina | 09 mars 2008 à 11:35
si vous pouviez dire vrais quelquun parlera...avant 2011 ! mais bordel! qu'il parle!
Rédigé par : david | 06 mars 2008 à 22:43
Dans cette contrée retirée des Vosges, les crimes des temps jadis resurgissent et forment une chaîne de jalousie...et de haine...!
Tout le monde connaît tout le monde. On ne peut rien cacher. Un voisin sait ce que l'autre a dans son assiette...C'est la France profonde, celle où les méfaits qui ce sont passés il y a des décennies ne s'oublient jamais...C'est ça l'affaire Villemin. Une vengeance d'un acte commis il y a de nombreuses années. Un acte qui a fait mal...alors il fallait aussi faire mal...
Grégory est la victime du jeu : "Je te tiens, tu me tiens par la barbichette. Le premier de nous deux qui rira aura une tapette".
Grégory a prit la tapette. Son assassin rigole encore...!!
Pas pour longtemps...Quelqu'un parlera...avant 2011...!
Rédigé par : Claude | 03 mars 2008 à 13:47
je ne sais pas qui a tué le petit garçon, mais si c'est BL je n'aimerais pas être dans la peau de Muriel Bolle....
Rédigé par : Vargas | 02 mars 2008 à 01:02
MAIS QUI A TUE CE PAUVRE PETIT MAIS QUI ? REPOSE EN PAIX GREGORY
Rédigé par : fracassi | 18 février 2008 à 22:16
La première fois que j'ai entendu parlé de Grégory c'était dans un car à la radio, j'avais 16 ans. On disait que son petit corps avait été retrouvé dans la vologne etc. Celà ma choquée terriblement, j'ai senti comme un étrange courant traverser tous mon corps. Grégory est pour moi le point zéro où d'insouciante j'ai pris conscience du monde cruel dans lequel je vivais avec tous les prédateurs que nous cotoyons sans même nous en rendre compte ! Mes parents étaient "passionnés" par l'affaire. Ils avait le magasine "détective". J'ai lu à l'époque les accusations contre Christine. Ma mère y croyait, elle était dégoutée de cette femme. Je lui répondais que ce n'était pas possible, que jamais Christine Villemin aurait pu faire une chose pareil ! Jamais je n'ai cru celà, jamais je n'ai douté de son inocence, j'ai toujours compati dans sa douleur ! et j'ai toujours cru en la culpabilité du coupable présumé et je reste sur mes positions. Je me pose une petite question : je viens de tuer un enfant, celà était prémédité, j'avais des complice : à qui ai-je envie de téléphoner pour prévenir de la réussite du forfait : Les parents, les grands parents oubien mon complice qui attend avec impatience de mes nouvelles ?
Rédigé par : calyspo | 06 février 2008 à 03:03
concernant les codes postaux,il s'agit d'une tradition dans ce pays.ce fait n'est donc pas marquant.
pour moi, tout converge vers les voisins à aumontzey ( cf déjà cité)
par contre, je suis convaincu qu'il n'y pas un meurtrier mais plusieurs complices.
en tout cas je n'aimerais pas être à la place de m bolle et de sa soeur,question de conscience...
l'affaire sera prescrite dans 3 ans.
quant aux époux villemin,chapeau pour leur force morale et leur amour jamais démenti,un exemple pour tous.moi qui ai deux jeunes enfants,je considère leur force de vie comme un modèle.
Rédigé par : yh | 02 février 2008 à 12:01
je pense que le fait de parler de gregory 26 ans apres sa mort que l'on soit vieux ou jeune permet de ne pas oublier ce petit garcon injustement assassiné, s'interrogé encore sur ce qui a bien pu se passer ce jour la
j'ai 32 ans et j'avais 10 ans au moment des faits Des fois je pense à gregory et je souhaite que l'on puisse découvrir son meurtrier et j'espère c'est que gregory soit heureux la ou est
Rédigé par : nadia | 01 février 2008 à 11:30
je pense que le fait de parler de gregory 26 ans apres sa mort que l'on soit vieux ou jeune permet de ne pas oublier ce petit garcon injustement assassiné, s'interrogé encore sur ce qui a bien pu se passer ce jour la
j'ai 32 ans et j'avais 10 ans au moment des faits Des fois je pense à gregory et je souhaite que l'on puisse découvrir son meurtrier et j'espère c'est que gregory soit heureux la ou est
Rédigé par : nadia | 01 février 2008 à 11:29
je pense que le fait de parler de gregory 26 ans apres sa mort que l'on soit vieux ou jeune permet de ne pas oublier ce petit garcon injustement assassiné, s'interrogé encore sur ce qui a bien pu se passer ce jour la
j'ai 32 ans et j'avais 10 ans au moment des faits Des fois je pense à gregory et je souhaite que l'on puisse découvrir son meurtrier et j'espère c'est que gregory soit heureux la ou est
Rédigé par : nadia | 01 février 2008 à 11:28
Concernant les lettres anonymes, ce que je trouve étonnant,c 'est les codes postaux ecrits après le nom du village et entre parentheses comme le font les tribunaux d'instance concernant les mesures de tutelles et de curatelles or il me semble que la tante etait concernée par cette protection juridique sans vouloir mettre en cause cette brave femme qui, effectivement a fait des déclarations trés importantes, peut être que là aussi il peut se trouver un élement de réponse ou rien du tout .
Rédigé par : ERIC | 22 janvier 2008 à 19:06
j'ajouterai qu'il est nécessaire de chercher du côté de marcel jacob et de son épouse ( voisins de m villemin et de b laroche) à aumontzey.( cf détails perçus par monique lors de différents appels)
Rédigé par : yh | 10 janvier 2008 à 13:42
plusieurs détails me chiffonnent dans cette affaire:
1) pourquoi ne pas avoir poussé l'investigation concernant l'infirmière de la mère de m bolle ( qui avait recueilli des témoignages troublants au sujet de l'insuline)( et ce que bien que le juge simon l'ait rencontré)
2) quid de l'emploi du temps de ma laroche le 16 octobre 1984?
3) pourquoi ne pas avoir pousser les investigations concernant michel?
4) la tante louisette,certes simple d'esprit, a fait des révélations troublantes.
5) quid de la correspondance entre le tableau des appels du corbeau et les emplois du temps respectifs de b et ma laroche,mr harel ,michel villemin ?
6) pourquoi ne pas pousser les investigations concernant la voisine des époux villemin? ( mme claudon)?
l'ensemble de ces points mériteraient une réouverture de l'enquête.
Rédigé par : yh | 07 janvier 2008 à 22:01
et bien moi je dis juste que cette affaire est tres triste... j ai 36 ans, je me rappelle encore et toujours ce drame comme si c etait hier,
aucun rapport mais j ai choisi d appeler mon fils Gregory, aujourd hui il a 4 ans... et je voulais juste dire que les gens sont vraiment tres cons... avec leur reflexions a la con sur un prenom qui est tres beau...
je voulais juste adresser mon amitie a cette famille meurtrie a jamais??? et si cela arrivait a l un de mes enfants je ferai justice moi meme comme Monsieur Villemin
Rédigé par : saxo | 05 janvier 2008 à 22:25
Je ne vois pas en quoi le témoignage de Jérémy (qu'il soit vrai ou pas) peut blesser christine et Jean-Marie VILLEMIN...Je ne vois pas du tout le rapport...
Il a juste fait part de quelque chose qu'il avait sur le coeur (délire ou pas) mais n'a jamais insulté ou remis en cause l'innocence de ces gens là..Donc je ne vois vraiment pas le malaise..
Rédigé par : soOpa | 23 décembre 2007 à 11:22
jeremy mon pauvre garcon quand je lis tes commentaires je m appercois le nombre inconstestable de fautes d'orthographe que tu fais mais la plus grosse erreur c'est d'emmerder les villemin en ecrivant ce genre de conneries. Arrete tout ca et va voir un specialiste auquel il est habilite a ecouter et analyser ce genre d'histoires. Ces gens la on assez souffert durant toutes ces annees la. Ne crois tu pas qu' il faut que ca cesse?
Rédigé par : thierry ercilbengoa | 23 décembre 2007 à 02:16
pour moi l assasin n est autre qu un collegue de travail du pere de gregory car le pere a coiffer au poteau la place de chef de quelqu un qui le merite depuis plus longtemps que lui
Rédigé par : gargiulo frederic | 30 septembre 2007 à 22:40